Michel Gau n’est plus

Michel Gau, visage connu à Saint-Benoît-du-Sault, dans toutes les communes du canton et au delà est décédé.

Michel Gau, né en 1932, a été maire adjoint à la culture de Saint-Benoît-du-Sault, de 1989 à 2001, lors du mandat de Jean Chatelut, ancien maire décédé. Il était aussi le frère de Marie-Thérèse Haurat, correspondante du journal La Nouvelle République pendant douze ans, décédée également.

Sa carrière professionnelle a débuté par l’école de l’armée de l’air à Rochefort (Charente-Maritime), pour étudier et maîtriser la photo et le cinéma.

Il a exercé dix-huit ans dans l’armée et continué ensuite le cinéma dans le civil et notamment avec des films tournés à Saint-Benoît-du-Sault. Il a travaillé aussi pour la télévision, Télé Luxembourg, à l’époque.

Michel Gau, a édité un ouvrage intéressant sur le passé de la commune et le sien. Un exemplaire a été remis à la mairie ou il peu être consulté.

Le 27 mai 2023, Il s’est vu remettre la médaille de fidélité de l’Association Nationale des Anciens Combattants de la Résistance (ANACR).

Ses obsèques religieuses seront célébrées vendredi 8 novembre 2024, à 10 h 30, en l’église de Saint-Benoît-du-Sault, suivies de la crémation, à 14 h, au crématorium de Châteauroux.

MICHEL GAU

Michel Gau (1932 / 2024). (Photo transmise par la famille)



Après midi d’enfer avec Halloween

 

Présidée par Brigitte Pipereau, l’association Familles Rurales de Vigoux, Chazelet, Saint-Gilles, Celon, a organisé dimanche 27octobre, un après midi d’enfer pour fêter Halloween.

Quatre vingt jeunes enfants, accompagnés des parents, venus des quatre communes et de plus loin ont participé à cette fête qui comprenait une chasse au trésor au centre bourg de Vigoux, un grand jeu de piste, des animations diverses et un goûter, salle des associations, sans oublier la participation des habitants du village, lors du passage des petits sorciers.

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Un des groupes qui a participé à la fête.



Les Artisans du Bonheur font la fête au champ de foire jusqu’au 11 novembre

La fête foraine du champ de Foire d’Argenton pour la Toussaint : c’est à la fois une tradition et une affaire des familles Bayard et Lépine.

La fête foraine du champ d’Argenton, animée par les familles Bayard et Lépine « Les Artisans du Bonheur » fête cette année son demi siècle. Elle se renouvelle chaque année de fin octobre début novembre.

De nombreuses animations sont au programme de cette rencontre festive sur ce champ de foire, laissé à disposition des forains par la municipalité qui donne l’accord de s’installer chaque année.

« Sur ce champ de foire d’Argenton, des manèges pour jeunes et grands enfants et adultes sont installés dont des voitures électriques pour enfants. La pêche aux canards fait également partie de l’équipement, tir, le Majestic, dit machine à pièces et un stand pour déguster des crêpes et des beignets…» annonce Franck Bayard, qui précise que la famille Lépine, a installé un manège enfant et un manège voitures électriques adultes.

Franck Bayard, qui habite Argenton, est le petit fils de Jean Bayard, ingénieur (décédé) qui avait confectionné lui même, un premier manège d’autos tamponnantes et s’était installé à son compte vers 1950.

L’entreprise fonctionnait à l’époque avec les trois fils de Jean Bayard, dont André Bayard (décédé) père de Franck et de Joël, qui ont pris la suite et assure cette fête foraine d’Argenton et autres dans les communes voisines et le département.

Jusqu’au 11 novembre, la fête foraine du Champ de foire d’Argenton, est ouverte tous les jours en semaine de 14 h 30 à 19 h et le week-end, de 14 h à 19 h. Notons au cours de cette période que les tarifs sont réduits.

Cor. N R : Lionel Marchenay

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A gauche, Franck Bayard, aux commandes du Majestic.


Rénovation thermique de la cantine scolaire de Roussines

Un investissement de 78.000 € H T, a permis de réaliser la rénovation thermique de la cantine scolaire de l’école de Roussines.

Les travaux concernant la cantine de l’école de Roussines, dans laquelle déjeunent les 70 élèves scolarisés des tout-petits de maternelle au CM 2, ont été réalisés pendant les vacances scolaires.

Notons que cette école fonctionne sous forme d’un RPI regroupant les élèves de 5 communes : Roussines, Chazelet, Sacièrges-Saint-Martin, Saint-Civran, Luzeret. Les enfants de la commune de Saint-Gilles sont acceptés.

« Les travaux concernant la rénovation thermique de cette cantine comprennent l’isolation extérieur pour un montant de 46.602 € ; menuiseries, 12.532 € ; isolation des combles, 5.486 € ; chauffage, 11.719 € ; étude thermique 1.500 € » ont indiqué Philippe Gourlay, le maire, Philippe Charret, en charge des travaux et Jacqueline Laroche, chargée quant à elle, du fonctionnement du RPI.

Concernant les aides, l’Etat a participé à hauteur de 51.802 €, soit Fonds Vert, 22.201 € et 29.601 € concernant la dotation d’équipement des territoires ruraux (DETR) et la dotation de soutien à l’investissement local (DSIL). Le Conseil départemental a également subventionné également à hauteur de 6.075 € par le biais du FAR (Fonds d’Action Rural) Le solde à charge de la commune est de 19.963 €.

Ces travaux génère 40% d’économies d’énergie et un meilleur confort acoustique pour les enfants.

« Sans perdre de vue la climatisation qui améliore le confort en été » a constaté et conclu Pierrette Ponroy, la cantinière visiblement satisfaite de l’ensemble des travaux réalisés sur son lieu de travail.

La rénovation thermique de la cantine scolaire, est une première étape car la municipalité à décidé de faire également la rénovation thermique de l’école (extérieur et intérieur) et changer le mode de chauffage, pour améliorer le cadre de vie des élèves, ainsi que la rénovation thermique de la bibliothèque et de la mairie.

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De gauche à droite, dans la cantine, Philippe Charret, Jacqueline Laroche, Pierrette Ponroy, Philippe Gourlay.



La Dette, un film réalisé à chaillac par Virginie Voisin

« La Dette » c’est le titre du film réalisé par Virginie Voisin et tourné à Chaillac : film produit par Caméra Subjective de Paris.

La genèse du scénario est la « légende de la dame de Condé », écrit par l’économiste Jacques Dartan et repris par Jacques Attali, une fable qui tente de démontrer la situation globale de l’économie réelle au travers de la situation d’un village et prenant un billet de 100 €, comme « témoin », que se repassent sans le savoir chaque personnage.

« Étant plus humaniste qu’économiste, ce sont nos chers villageois et le lien qui les unit qui m’a passionné. Chacun soutient l’autre en acceptant de lui prêter de l’argent, sans avoir conscience qu’il est le maillon d’une chaîne économique, qu’il va avoir la chance de transformer en chaîne d’une tout autre valeur » explique Virginie Voisin, réalisatrice du film, dont la plupart des scènes se déroulent au cœur du village de Chaillac et plus précisément sur sa place.

« Ce petit village authentique de l’Indre où je n’étais pas retournée depuis près de quarante ans et où mes grands-parents sont nés, m’est soudainement apparue » a ajouté Virginie Voisin, qui par hasard, l’été dernier a passé ses vacances à quelques kilomètres de Chaillac, qu’elle décide d’aller voir.

« Quand j’arrive sur la place… Tout est là ! La place est belle de simplicité, c’est le théâtre idéal pour accueillir mes personnages, tous les déplacements que j’envisage dans le film trouvent leur chemin. Une perfection » précise-t-elle, avant d’énumérer les principaux comédiens : Ludovic Laroche (né à Bélabre), Guillaume Bouchède, Eric Viellard, Elie Rapp, Olivier Doran, Marine Buttet, Nicolas Lumbreras, Gérard Mayaud, Martine Mayaud, Pierrette Oeuvray et Bernard Laroche (de Bélabre).

Virginie adresse un grand merci à tous les commerçants de la place de Chaillac qui ont accompagné et prêté leurs lieux et commerces (Damien Crouzy-Pujol pour sa boucherie, Mme Mathé pour l’auberge la gerbe de blé, Stéphanie Bigaud du Zinc, la ferme de la Ménardière et M. et Mme Vachaud, de Lignac, sans oublier, Gérard Mayaud, vice-président du conseil départemental de l’Indre qui réside à Chaillac, Anthony Dubus maire de la commune et toute l’équipe de la mairie.

Cor. N R : Lionel Marchenay avec Virginie Voisin

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A gauche, Gérard Mayaud, entouré par Virgine Voisin et Chloé Guédeney, 1re assistante et Fabrizio Fontemaggi, chef opérateur. Le film est tourné sur quatre jours de mardi 27 à vendredi 30 août.


A Argenton la soirée folklorique perturbée par la pluie

Samedi dernier, 17 août, la soirée Arts et Traditions Populaire, organisée par les tréteaux du Pont Vieux, prévue à ciel ouvert au jardin public d’Argenton a déménagé au dernier moment dans la halle municipale pour se mettre à l’abri de la pluie.

« Pour terminer leur saison estivale à Argenton-sur-creuse « Les Tréteaux du Pont Vieux » proposent chaque année une animation d’arts et traditions populaires : danses, musiques et bal traditionnel et profitent de l’occasion  pour inviter un groupe folklorique.

La soirée à débuté par une animation des Tréteaux du Pont Vieux. Ensuite, c’est le groupe folklorique « Les Morelles de Champagne » invité d’honneur, qui a proposé, une animation de qualité, sous forme de danses de leur village.

Ce groupe folklorique a été créé en 1976 par l’association touristique des Amis du Lac de Der, pour animer ses expositions et faire revivre les traditions du bocage.

Après un bon dîner, la soirée s’est terminée par un grand bal traditionnel ouvert à tous.

La prochaine manifestation des Tréteaux du Pont Vieux, dite la soirée berrichonne, à Argenton, salle jean Frappat, aura lieu le 5 octobre.

Contact Tréteaux du Pont-Vieux : Robert Gabillaud, tél. 06.87.94.04.32.

 

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Le groupe folklorique, Les Morelles de Champagne et Les Tréteaux du Pont Vieux, ont animé la soirée.



Les photographies de Jenny de Vasson, au Prieuré de Saint-Benoît-du-Sault

L’association culturelle du Prieuré, à Saint-Benoît-du-Sault, propose de découvrir l’univers authentique et émouvant de Jenny de Vasson ( 1872 – 1920), libre penseuse et pionnière de la photographie à l’aube du XXe siècle.

Cette femme, en avance sur son temps, achète en 1899 un appareil photographique et installe un laboratoire dans la maison familiale.

Depuis ce jour, elle ne s’arrête pas d’immortaliser des moments de vie en Berry ou lors de ses voyages.

Elle réalise de nombreux portraits de ses proches, des paysans de la Vallée Noire, de domestiques, scènes de la vie rurale et autres… à découvrir au Prieuré de Saint-Benoît-du-Sault.

L’exposition est réalisée avec l’aimable autorisation de Gilles Wolkowitsch, propriétaire des œuvres et le concours du musée Georges Sand et de la Vallée Noire de La Châtre.

Notons que mardi 27 août, à 17 h, une projection documentaire est prévue : Jenny de Vasson, Le Miroir Inversé, un film de Pascal Guilly, suivie d’une rencontre avec lui même.

Exposition jusqu’au 1er septembre, de 35 photographies de Jenny de Vasson, grands formats, au Prieuré de Saint-Benoît-du-Sault : ouverture du mardi au dimanche, de 10 h à 12 h et de 16 h à 19 h. Entrée gratuite.

Cor. N R : Lionel Marchenay

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A droite, Elisabeth Dubrac, présidente de l’association du Prieuré, au moment de l’accrochage de l’exposition.



Pluie de médailles et de diplômes sur les judokas

Avec 75 judokas au masculin et féminin, le Judo Club Argentonnais se place dans les plus importants du département.

Mardi 2 juillet, le Judo Club Argentonnais présidé par Carole Bodin, depuis 2018, a quitté le tatami pour prendre les vacances annuelles. Les cours reprendront mardi 3 septembre.

Cette journée de mardi dernier a permis de constater que l’effectif n’a cessé d’évoluer. Le club regroupe une majorité de jeunes, de débutants à ceintures noires au nombre de cinq dont une remise cette année à deux judokas.

Carole Bodin, a profité du moment pour rappelé que l’année écoulée a été satisfaisante dans son ensemble.

« Nous avons prévu pour cette fin d’année un double loto et une brocante vide-greniers. Nous prévoyons également l’organisation d’une coupe départementale des ceintures toutes couleurs confondues et un interclub » a indiqué la présidente.

Les cours de judo, au centre sportif Lothaire Kubel d’Argenton-sur-Creuse, reprendront donc ce mardi 4 septembre et se dérouleront tous les mardis de 18 h 30 à 19 h 30 pour les jeunes de 6 à 11 ans, de 19 h 30 à 21 h 15, pour les 12 ans et plus, les jeudis pour les babies de 17 h 15 à 18 h, pour les moyens de 18 h 15 à 19 h 45 et de 19 h 45 à 21 h 15, pour les adultes. Ils seront assurés et encadrés par deux professeurs, ceinture noire, Fabien Monnier, 3e dan et Tim Berger, 2e dan.

Les deux professeurs et la présidente ont clôturé cette rencontre de fin de saison par une remise très importante de médailles et de diplômes, sans oublier les honneurs à Monique Charpentier, bénévoles du club depuis 1990 et trésorière depuis 2002. Après 22 années consécutives de bénévolat, elle en a profité pour annoncer qu’elle tirait sa révérence.

Contact renseignements : Carole Bodin, tél. 06.46.04.71.60.

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Les judokas après la remise des récompenses. A droite, Carole Bodin, présidente et Monique Charpentier, qui tire sa révérence.



Inauguration des travaux de mise en valeur du château du Courbat, au Pêchereau

Un investissement de 507.147 € HT, a permis au château du Courbat, au Péchereau, qui abrite une des plus belle mairie de France de retrouver l’éclat qui lui manquait.

Samedi dernier, c’est en présence de nombreuses personnalités et de nombreux habitants de la commune que l’ensemble des travaux du château du Courbat, a été inauguré.

Dans son discours d’ouverture, Jean-Pierre Nandillon, le maire, a rappelé « qu’en 1985, la mairie se trouvait dans l’ancienne gare, en dessous de l’église. La population était en forte augmentation dû à la construction du lotissement de Paumule et la mairie s’avérait trop petite. C’est à cette époque que le Maire M. Jean Descout et son conseil rachète le château et ses dépendances à la famille de d’Hubert de Lafforest pour y installer la nouvelle mairie ».

Le 19 novembre 1978, le château est inscrit à l’inventaire des monuments historiques. Etaient concernées par ce classement, la toiture, les façades et les douves.

« Et c’est en 1991 que le château devient notre mairie classée parmi les douze plus belles de France, un timbre fut édité à cette occasion » a ajouté Jean-Pierre Nandillon, avant d’énumérer les travaux réalisés de pied en cape et les subventions qui ont permis de les réaliser dont : 113.517 € HT de la DRAC Centre-Val de Loire ; 121.466 € HT de l’État DSIL ; 120.000 € HT du Département via le Font Patrimoine, reste 171.639 € HT à la charge de la commune.

Nous avons par l’intermédiaire de La Fondation du Patrimoine, fait une souscription. De 2019 à 2023, 105 dons ont permis de collecter 29.610 €.

Le Club des Mécènes nous a offert les épis de faîtage pour 10.000 €. Sans oublier les dons du Crédit Agricole, la Caisse d’Épargne pour leurs dons également et les 105 donateurs, qui contribué à la sauvegarde d’un patrimoine cher au cœur des Pescherelliens.

 

CHATEAU_PECHEREAUBon nombre de personnes ont honoré la rencontre organisée à l’occasion de l’inauguration des travaux du château du Courbat.



Roussines : une convention de jumelage signée par trois maires

C’est dans les locaux de la colonie de Bondy, commune de Roussines, qu’une convention de jumelage regroupant trois collectivités a été signée dimanche 5 mai dernier, par les maires de Bondy, Roussines et Saint-Benoît-du-Sault.

Cette convention a pour objectif de concrétiser un jumelage entre les villes de Bondy (93), propriétaire à Roussines de la colonie et Saint-Benoît-du-Sault.

« L’idée est de poursuivre une collaboration qui permettra de valoriser le site, engager un véritable jumelage et organiser plusieurs évènements aux côtés de la colonie de vacance et notamment valoriser la piscine installée sur le site » a indiqué Stéphen Hervé, maire de Bondy, au côté de Philippe Gourlay, maire de Roussines ; Damien Barré, maire de Saint-Benoît et de nombreux élus (es) des communes concernées.

Etaient également présents Lydie Lacou et Gérard Mayaud, conseillers départementaux qui félicitent et soutiennent ce jumelage.

Les projets pour ces deux communes baptisées villages d’avenir, passent par la mise à disposition de terrain pour développer le photovoltaïque, diverses activités culturelles, classes vertes et autres dont l’utilisation du site quatre mois par an par le Service National Universel (SNU), qui regroupera chaque mois une centaine de jeunes à tour de rôle sans oublier le festival américain qui aura lieu les 18 – 19 et 20 mai.

La rencontre s’est terminée par la plantation symbolique d’un arbres, un Ginkgo biloba, ou arbre aux 40 écus. C’est un arbre d’ornement très apprécié en automne pour son superbe feuillage jaune doré.

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De gauche a droite, Damien Barré, Stéphen Hervé et Philippe Gourlay, ont signé la convention.

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