Jusqu’à dimanche, @_NicolasAlbert et @ThierrySoulard livetweetent et liveblog le festival d’Angoulême. Ces articles évolueront heure après heure, en fonction des trouvailles. N’hésitez pas à revenir plus tard dans la journée !
0h30. Bonne nouvelle, le bar de l’hôtel Mercure a beau avoir été refait, les festivaliers auteurs et professionnels ont réinvesti les lieux. La disposition a changé, pas l’esprit de ces fameuses « soirées au Mercure ». Sympa.
23h30. Tiens, la nuit Hergé ne porte plus de lunettes.
22h30. Les bulles vides font toujours leur petit effet. Elles sont déjà prêtes pour accueillir dès demain matin de nombreux visiteurs. Traditionnellement, la journée du samedi est celle de l’affluence record…
20h. La soirée débute à l’espace Mangasie et les plats disposés sur les tables par de charmantes hôtesses sont très appétissants.
18h30. Eva Joly est à Angoulême pour remettre le prix Tournesol.
18h. C’est confirmé, les soirées si privées et prisées de ce vendredi se tiendront au Pavillon Jeunes Talents et à espace Mangasie. C’est la chasse aux dernières invitations.
17h45. Tout le monde à le sourire au marché des droits internationaux, apparemment beaucoup de contrats y auraient été signés.
17h. Polina de Bastien Vivès a la côte. Dans les rues, les fans décollent les affiches placées par Casterman pour les emporter.
16h30. Le vigile de la bulle des bouquinistes place des halles annonce que le 5000eme festivalier vient de franchir la porte et cela semble être un évènement pour lui. Marrant.
15h30. Sous les bulles c’est toujours l’effervescence. A l’entrée du monde des éditeurs, le bureau d’Adolphus Claar, le héros de Chaland, a la cote. Réalisé par Leblon-Delienne, il coûte cependant 5.000 euros, sans les options. De quoi décourager quelques fans…
15h. Fin du deuxième concert de dessin dans une salle une nouvelle fois à guichets fermés. Benoît Sokal est annoncé pour demain.
13h50. Juste avant que ne débute le deuxième concert de dessin, Jean-Claude Vannier croise Areski en coulisses pour un petit moment sympa entre deux grands artistes.
12h00. Les militaires d’Airbone sont cette fois-ci en voiture. Leur jeep est arrêtée dans la rue Hergé et il semble y avoir quelques soucis mécaniques. Pas mal la promo que réalise Casterman autour de la série de Jarbinet.
11h30. Sous les bulles, il y a du monde, beaucoup même comparé aux années précédentes où le vendredi n’est pourtant pas la plus grosse journée. Craig Thompson est une véritable vedette. La file d’attente pour lui faire dédicacer son Habibi est énorme et il faut s’armer d’une énorme patience pour obtenir un précieux dessin du sympathique et talentueux Américain.
11h. Une voiture de police s’arrête à côté des hotesses Malabar dans la rue Hergé. Tout le monde a le sourire. Et les bulle-gums du nouveau partenaire du FIBD sont très prisés. Même des policiers…
10h30. Du côté des Droits internationaux, il y a également beaucoup de monde. De gros contrats se signent aussi à Angoulême en toute discrétion et dans un espace où l’accès est filtré avec minutie. Chut…
10h15. L’exposition Fred est merveilleuse. On retrouve toute la magie onirique des albums de ce conteur éclectique. C’est beau, splendide, envoutant. A l’entrée de l’Hôtel Saint-Simon, un puit accueille les visiteurs. Comme Philémon, il nous entraîne pour une visite inoubliable. Et au deuxième étage, l’herbe est verte et sent bon le gazon. Le scénographe a eu la bonne et surprenante initiative d’installer de la vraie pelouse. Bien vu, on s’y croit. Tiens, Alfred est également de la visite. L’auteur se produisant chaque jour lors des concerts de dessin confie d’ailleurs être un grand fan de Fred. Comme beaucoup d’artistes…
10h. La seconde journée d’Angoulême commence sous un beau soleil. Sous les bulles des éditeurs, c’est déjà la ruée vers les dédicaces. L’affluence est énorme.
9h45. Les infos sur les fameuses soirées d’Angoulême, très courues par les festivaliers, commencent à circuler. Ce soir, il y en a une de programmée à l’espace Mangasie, bulle du champ de Mars. La chasse au invitations est lancée…
9h. Tiens, ce matin le buste de Hergé a troqué ses lunettes noires pour des lunettes blanches.