Comme convenu est le nouvel album de Laurel une bloggeuse hyper active sur la toile. Pour financer son ouvrage, elle a utilisé la plateforme Ulule. Le directeur-adjoint, Mathieu Maire du Poset répond aux questions sur le financement participatif.
Comme convenu est le nouvel album de Laurel une bloggeuse hyper active sur la toile. Pour financer son ouvrage, elle a utilisé la plateforme Ulule. Le directeur-adjoint, Mathieu Maire du Poset répond aux questions sur le financement participatif.
Pour ce deuxième samedi du mois d’octobre, Case Départ vous propose une petite sélection. En vous ouvrant sa bibliothèque, le blog met en lumière de très bonnes bandes dessinées. Nous passons au crible, les albums suivants : un merveilleux album pour enfants signé Scotto et Lejonc : Kodhja, Alcibiade : une formidable quête initiatique pour jeunes lecteurs de Rémi Farnos, Killoffer tel qu’en lui même enfin, l’adaptation en bande dessinée du roman Au revoir là-haut, Pozla raconte sa maladie chronique dans Carnet de santé foireuse, la troisième aventure de Violette autour du monde, Philippe Geluck dévoile Le chat fait des petits, une autobiographie de Gainsbourg aux éditions Jungle, un nouveau tome de la série jeunesse Alyssa, Karl’s secrets : un album amusant sur le célèbre créateur Lagerfeld, une édition anniversaire de Dofus, L’accessoiriste : un suspens autour du cinéma, le premier volume du comics Batgirl, Only One : un yaoi pour adultes et un album pour public averti : Suite 121. Bonnes lectures.
Elle espérait récolter péniblement 9.000 €. Elle en est actuellement à 120.000 € (et ça continue d’augmenter). Le financement participatif de la bande dessinée « Comme convenu », de Laurel, a fait exploser la plate-forme Ulule. Signe que les blogueurs BD récoltent enfin ce qu’ils ont semé?
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Pour ce troisième samedi du mois de septembre, Case Départ vous propose une petite sélection. En vous ouvrant sa bibliothèque, le blog met en lumière de très bonnes bandes dessinées. Nous passons au crible, les albums suivants : Autoportrait signé Baladi chez Atrabile, J’ai tué Philippe II de Macédoine : un album d’Isabelle Dethan, un récit à quatre mains Vive la marée !, le deuxième volet de la saga Le château des étoiles, la biographie d’André le Géant, la naissance de la Démocratie à Athènes, Petites niaiseuses : des tranches de vie de Sandrine Martin, le huitième volume de la revue Doggybags, l’intégrale des deux premiers tomes de la série Aspic détectives de l’étrange, le second volet de Mort au tsar, le deuxième recueil d’Impostures de Romain Dutreix, L’or du Rhin de Roger Seiter, le premier volume du manga La confrérie des lions blancs, deux albums Les fondus du vin et le nouveau tome du Bouquin du petit coin. Bonnes lectures.
Pour ce dernier samedi du mois d’août et avant une rentrée très attendue, Case Départ vous propose une petite sélection. En vous ouvrant sa bibliothèque, le blog met en lumière de très bonnes bandes dessinées. Nous passons au crible, les albums suivants : la très belle série manga Orange publiée par Akata, le sixième volet de la série de Joann Sfar : Le chat du rabbin, le premier volume du manga Arte, Léonid : la nouvelle série animalière jeunesse des éditions Soleil, L’enragé du ciel : l’adaptation libre de la vie du pilote émérite Roger Henrard , Le piano oriental : le nouvel album de la franco-libanaise Ziena Abirached, La dame de Damas : une version de Roméo et Juliette pendant le soulèvement syrien, le premier volume du comics français The infinite loop, Le dernier tome du Tempe du passé de Hubert & Etienne Le Roux, le premier volet de la biographie de Charles de Gaulle, Baby Boom : l’adaptation de la nouvelle de Jean Vautrin, la réédition de Kid Eternity : un comics de Grant Morrison, le premier volume du manga Freak Island et le 28e tome des aventures des Simpson. Bonnes lectures.
Le point de départ de cette étrange découverte, c’est une étudiante en master de communication « Culture et arts du spectacle » à Toulouse. Cette jeune personne demeure dans un superbe petit village du Gard, à la limite du parc national de la Camargue, Crespian (358 habitants), où l’art de vivre, l’accueil et la convivialité sont inscrits dans l’ombre des vieilles rues, des oliviers et du chant permanent du vent et des cigales. Bon, c’est sympa, cette entrée en matière bucolique, mais où est-ce qu’on parle de BD dans tout çà ? Patience, on y vient. Oncle Erwann aime prendre son temps.
Donc, Andréa, qui défend la culture (pas celle des petits pois) en milieu rural, décide d’organiser une petite manif’, fin août, pour mettre en valeur les artistes locaux et les talents amateurs de ce petit bourg qui ne demande qu’à revivre.
C’est là où la BD commence à montrer le bout de sa case. Car, dans cette commune de Crespian, a longtemps vécu (de 1972 à peu près à la fin des années 2000), un peintre, professionnel lui, retiré dans le Languedoc, après une dépression provoquée par un drame familial.
Pour ce deuxième samedi du mois d’août, Case Départ vous propose une petite sélection. Les vacances, c’est aussi l’occasion de rattraper notre retard sur un nombre important de sorties et notamment des mangas. En vous ouvrant sa bibliothèque, le blog met en lumière de très bonnes bandes dessinées. Nous passons au crible, les albums suivants : le sixième volume de Geoff Johns présente Superman qui revient sur les Origines Secrètes du super-héros, le très bon premier volume du manga thriller Secret, Professeur Infini : un bel album jeunesse signé Marc Lataste, le premier volet de Magical Girl Site ou comment se venger des humiliations de ses camarades, Area 51 : un lieu étrange où se mêle tous les monstres et créatures légendaires, Furious : la nouvelle super-héroïne aux excès de violence inouïs, une déclinaison pour le jeune lectorat de Star Wars : Rebels, le deuxième tome du manga My teen love et Le dictionnaire illustré de Laurent Baffie. Bonnes lectures.
Pour ce premier week-end du mois d’août, Case Départ vous propose une petite sélection. Les vacances, c’est aussi l’occasion de rattraper notre retard sur un nombre important de sorties et notamment des mangas. En vous ouvrant sa bibliothèque, le blog met en lumière de très bonnes bandes dessinées. Nous passons au crible, les albums suivants : Roi Ours : une fable de Mobidic où les animaux et les croyances animistes tiennent une place centrale, le troisième volume de l’excellente série Double Je, le premier volet de la série Sangsues éditée par Sakka, l’ultime album de Gotham Central qui met en lumière les inspecteurs de la cité de Batman, le dernier tome de Baymax : l’adaptation en manga des Nouveaux Héros le film Disney, Katsuraakira : deux histoires signées par deux maîtres mangakas Katsura et Toriyama, trois nouveaux Sketchbooks Comix Buro : Christian Rossi, Dominique Bertail et Lorenzo De Felici, Mimo et les dinos des Antipodes de Mazan et Dethan, un ouvrage sur la collection Schlumpf : La cité de l’automobile, le premier volume de Rental Hearts et Ignominia : un album pour adulte de Juan José RYP. Bonnes lectures.
Les pictaviens Alexandra Néraudeau et Loïc Méhée dévoilent Lolita la taupe qui cherche l’amour à la loupe, une belle enquête pour les enfants à partir de 5 ans. Cet album est édité par Les 400 coups.
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Pour ce deuxième week-end du mois de juillet, Case Départ vous propose une petite sélection. En vous ouvrant sa bibliothèque, le blog met en lumière de très bonnes bandes dessinées. Nous passons au crible, les albums suivants : Dessus Dessous : un formidable album muet pour les plus jeunes, un polar campagnard Castagne édité par The Hoochie Coochie, Le blues du médecin ou les doutes d’un docteur, le premier volume du manga d’horreur Crueler than dead, le troisième volet de Revenge classroom, la chronique d’un attentat à Tel Aviv : Mike’s Place, Dilemma : un manga édité par Komikku, le premier tome du manga Rere : Hello !, une bande dessinée dont vous êtes le héros Zombie, Daytime shooting star : un beau shôjo des éditions Kana, Où es-tu Léopold ? les aventures d’un petit garçon qui peut devenir invisible, Guiby : un bébé super-héros, un album humoristique Polish et Chaleurs estivales : un album pour adultes. Bonnes lectures.
Besoin d’un peu d’air frais en ces temps caniculaires. Besoin de prendre un peu d’altitude et de s’approcher des blancheurs éternelles. Embarquement immédiat dans la caravane des souvenirs de Case Départ.
Avec un boyau de nostalgie et un dérailleur monté en dents (…elle), direction le tour du Tour (de France, of course), et l’ incroyable, impressionnante et increvable (sic) passion populaire qui l’ accompagne. Deux ans après le tour du Centenaire qui passait par la Touraine, le départ de l’édition 2015 des Pays-Bas suscite à nouveau un extraordinaire branle-bas de combat. Tant médiatique, sportif que répétons-le, populaire.
Devenu patrimoine national et carte postale publicitaire format étrange lucarne, la Grande boucle n’a pas toujours connu (évidemment, vu l’âge canonique de l’épreuve !) la gloire du petit écran. La télé naissante n’avait pas encore de véritable rôle à jouer (même si Georges de Caunes se souvient d’avoir commenté – depuis les studios parisiens – le Tour de 1950 diffusé alors en différé le lendemain de l’étape à 12 h 30) et que le premier direct date de 1952.
Reste que le début de l’engouement des téléspectateurs se situe véritablement au moment de la grande bagarre Anquetil-Poulidor dans une France coupée en deux entre la star normande et l’éternel n°2 auvergnat (ah, la bataille homérique du Puy-de-Dôme dans les années 60).
Entre temps, c’est vers la presse quotidienne (notamment sportive) que se tournaient les fans de commentaires, des interviewes à chaud, des analyses de ceux (anciens coureurs pour l’essentiel) que l’on ne nommait pas encore des « consultants » et surtout les amateurs de classements complets que ne pouvait pas donner (évidemment avec des dizaines de noms) l’autre très grand média du Tour, la radio. Continuer la lecture