5 juilet 1916.
Depuis ce matin il pleut à flots, une pluie mêlée de neige et de glaçons. J’attends que le canon donne le signal de l’attaque du Bois-Noir… Et le canon se tait. La journée se passe énervante. Attaque-t-on ? N’attaque-t-on pas ? Je pense que le temps affreux ne permet pas de déclencher l’infanterie.