Le vendredi 11 février 1916
Arrivée à Bourgueil à 4 h. J’ai la figure enflée et reste toute la journée enfermé. Temps couvert et humide.
Le samedi 12 février 1916
Du 12 au 18 février je reste à la maison et mon état s’aggrave.
Le vendredi 18 février 1916
Je reste au lit et je prends seulement du lait. Le médecin-major vient me voir à 16 h et m’ordonne des remèdes. Grande douleur dans la bouche.
plutôt que du lait, l’ami Henry aurait dû prendre un bon verre de « berton » chaud sucré au miel !
Radical contre l’angine…Il est vrai qu’en 2016 nous avons d’autres « médocs » !