A-B / C-D / E->I / J->O / P ->R / S / T->Z
Badbeat. Un mauvais coup. Lorsque quelqu’un, qui est entré dans un coup avec une main faible, gagne un coup sur une main, à la base, beaucoup plus forte.
Blind. La mise forcée. La petite blind (immédiatement à gauche du donneur) est souvent la moitié de la grosse blind (placé juste ensuite).
Board. C’est l’endroit, au centre de la table, où sont disposées les cartes visibles par tous les joueurs. On dit aussi le tableau. « Les cartes du board ».
Chatter. Ce n’est pas un gros mot, non non, « chatter » au poker c’est avoir une chance insolente. Toucher des cartes improbables qui font gagner contre toute attente. Défiant les statistiques et la logique.
Deepstack. Qualifie un tournoi dont le tapis de départ (les jetons qui sont attribués à chacun) est plutôt élevé. En général 2 à 3 fois (voire plus) celui des tournois classiques. Cela permet en général d’avoir une « profondeur » de jeu plus importante et de tenter des coups avec des mains plus marginales.
Fish. Poisson ! Le poker est un aquarium géant dans lequel le fish, à l’inverse du shark, est considéré comme un mauvais joueur (ou débutant), qui suit beaucoup trop de mises pour espérer des tirages a priori improbables… qu’il touche parfois !
Flop. Les trois premières cartes communes du tableau (=du board), retournée face ouverte sur la table par le croupier ou le donneur.
Heads Up. Rencontre en « tête à tête », entre deux joueurs : soit à la fin d’un tournoi, soit lors de tournois Heads-Up (se dit aussi HU) où plusieurs « tête à tête » s’affrontent.
Kicker. La deuxième carte fermée de votre main, dont la première carte aura trouvé sa paire. Exemple : As-Roi contre As-7, avec un tableau 2-3-AS-6-J : tous deux ont une paire d’As, celui qui a le kicker roi gagne. Le kicker est souvent ultra important.
Pot. C’est l’ensemble des mises, des enjeux mis en jeu. Le montant du pot est très variable selon le type de jeu, le nombre de joueurs, la structure du tournoi, etc. Lorsqu’il n’y a qu’un gagnant sur un coup, il remporte tout le pot; s’ils sont plusieurs, le pot est partagé.
Push or fold. Lorsqu’un joueur n’a plus beaucoup de jetons (en général moins de dix fois la big blind, ou du M), il doit passer en mode « push or fold ». A chaque fois que c’est à lui de jouer, ne lui reste que deux options : soit pousser tous ses jetons au milieu (faire tapis, all in, push), soit se coucher (fold).
Rake. C’est la commission prélevé par l’organisateur : soit la salle, soit le site selon que l’on est en réel ou sur internet. Il y aura un rake sur chaque coup en cash game, et un lors de l’inscription pour les tournois.
River. La rivière, 5e et dernière carte du tableau commun, retournée face ouverte par le croupier ou le donneur.
Room. La salle ou l’on joue au poker.
Shark. Un requin, propice à manger des petits fishs dans l’aquarium géant du poker. Un bon joueur, qui choisi bien ses tournois, mais aussi sélectionne ses mains qu’il défend ensuite avec agressivité, son but est de gagner. Et il y parvient (sinon il n’est pas shark !)
Shuffle up and deal. Littéralement, « Mélangez et distribuez » : c’est en fait le top départ, pour dire aux croupiers de lancer le jeu. Devenu le coup d’envoi des tournois, que la partie commence, c’est parti !
Sit and go. On désigne par sit and go (SnG ou encore Sit’n’Go, Sit & Go) un tournoi qui démarre lorsque le nombre préalablement décidé de joueurs est installé (en général une table). Contrairement aux tournois multitables qui, eux, démarrent à un horaire fixé. Littéralement, sit and go c’est : assieds-toi et allons-y.
Turn. La quatrième carte du tableau commun, retournée face ouverte par le croupier ou le donneur. Le « tournant », qui peut se révéler l’être vraiment !
NOTA : Des glossaires très complets existent sur de nombreux sites ou blogs, comme par exemple celui de Winamax ou encore de Pokerstars. Mais je recense là, à ma façon, les petits trucs de base, un lexique qui s’enrichira au fur et à mesure…
Loading ...