La première chose à connaître est l’ordre des mains, des combinaisons. Contrairement à nombre de sites, je commence par la combinaison la plus faible en remontant jusqu’à la plus forte. Un choix motivé par le jeu : il est bien plus fréquent de se battre en jeu sur des mains faibles (plus courantes); lorsqu’on a une bombe (plus rare), ça passe tout seul.
Il y a 9 combinaisons possibles. Je rappelle que c’est toujours la combinaison des 5 meilleures cartes parmi les 2 cartes que l’on a en main et celles posées sur le tableau qui compte :
- CARTE HAUTE. La plus petite combinaison, lorsque personne n’a rien trouvé de mieux (ça arrive si si !), ni paire, ni autre, c’est celui qui a la plus forte carte qui gagne.
- PAIRE. Deux cartes identiques.
- DOUBLE PAIRE. Deux paires.
- BRELAN. Trois cartes identiques.
- SUITE ou QUINTE. Cinq cartes qui se suivent (pas toutes de la même couleur).
- COULEUR ou FLUSH. Cinq cartes de même couleur. Les valeurs ne se suivent pas.
- FULL. Un brelan + une paire.
- CARRÉ. Quatre cartes de même valeur.
- QUINTE FLUSH. Suite de même couleur. Cinq cartes de même couleurs, aux valeurs qui se suivent.
Et, en bonus, la main ultime : la quinte flush royale, qui n’est pas une combinaison en tant que telle, mais qui gagne forcément puisque c’est une quinte flush… à l’As (carte la plus forte) : elle battra donc toutes les autres quinte flush… Là vous pouvez miser votre maison, votre voiture, votre boîte… et tout ce que vous voulez ! Elle bat tout le reste. C’est celle-ci (ici à trèfle, mais elle est tout aussi jolie à coeur, carreau ou pique) :
Un résumé ?
Hauteur, paire, double paire, brelan, quinte (ou suite), flush (ou couleur), full, carré, quinte flush… Et le bonus, ultime, la quinte flush royale.
En image :
Cela dit, le site Winamax propose une « école de poker » très bien faite : Poker school Winamax