Le 24 juin dernier, c’était la fête nationale du Québec ou encore la Saint Jean-Baptiste.
Les origines de la Fête nationale remontent au 24 juin 1834 par la réunion d’une soixantaine de personnes pour soutenir le mouvement patriote et ainsi concrétiser le projet de doter le peuple canadien-français d’une fête nationale annuelle.
Le premier défilé de la Saint-Jean-Baptiste à Montréal a lieu en 1843, mais il adopte l’envergure qu’on lui connaît à ce jour en 1874 pour célébrer le 40e anniversaire de la première grande tablée.
Le 21 janvier 1948, le fleurdelisé devient l’emblème officiel du Québec. Depuis, il orne le drapeau et s’impose comme enseigne de la nation québécoise.
C’est en 1977 que la Fête nationale est officiellement reconnue comme journée fériée et chômée par le gouvernement de René Lévesque. Qui plus est, elle devient la Fête de tous les habitants du Québec, peu importe leurs origines, leurs religions et leurs allégeances politiques.
Nous avons donc assisté au défilé de la fête nationale Rue Saint-Denis à Montréal, une fête populaire qui rassemble des québécois (et des expatriés) de différents horizons. Un défilé sans prétentions composé exclusivement de bénévoles (écoles de danse, de musique, quelques chars…).
Ambiance chaleureuse et bon enfant garantie avec distribution de radis, de pommes et d’arbres à planter et bien entendu de drapeaux du Québec ! Vive le bleu !
Moi je dis qu’un petit ajout de blanc et de rouge serait assez seyant…
En Belgique, le gilles laisse des bonbons/chocolat et oranges sur la foule . Les radis, c’est original et plus sain pour les enfants. J’espère qu’ils ne lancent pas les plants d’arbre sur la foule…