#Mercredi : les objets du jour
Trois objets pour résumer une journée ? L’aventure Darc 2010 continue…
Les crayons (épisode II)
Souvenez-vous de la réflexion des «Darquettes», l’autre jour. Tiphanie et Marina nous confiaient que les crayons de l’accueil disparaissaient chaque jour et que la réserve de ces stylos estampillés « Conseil général » fondait comme neige au soleil. L’annonce a eu son effet. Hervé Cochetel, responsable de la communication au conseil général de l’Indre, est revenu avec une grosse cargaison. Autant vous dire que «Les Darquettes» ont apprécié.
Le parapluie
Il a fait globalement froid pendant le stage-festival, cette année et le soleil s’est montré timide. «Ça joue évidemment sur le festival, confie Éric Bellet, directeur de Darc, mais sur le stage cela ne change pas grand chose… sauf des jours comme ce matin où, avec la pluie, la terrasse de la cafétéria est déserte. Mais c’est surtout les soirs de concerts : quand il pleut à verse avant un concert de Christophe Willem ou quand il fait beau comme mardi soir avec Hocus Pocus, l’ambiance festive n’est pas la même.» On a donc sorti le parapluie, sur Darc, comme Élodie, de Bourges. Stagiaire sur Darc pour la première fois, la jeune femme qui passe son DE de professorat de danse jazz est venue ici goûter au modern’jazz, à l’analyse du mouvement, à l’initiation rythmique et aux masssages. «J’aime les rencontres, l’ouverture de Darc», confie-t-elle, motivée par sa curiosité. Elle espère bien voir cette première, rendue possible grâce à sa disponibilité, se répéter ! «Je me suis retrouvée dans ma danse. Dans ma formation, on décortique tout et j’avais perdu la globalité du mouvement… avec Darc, je pense avoir retrouvé ma danse», poursuit Élodie.
Pour en revenir au parapluie et pour conjurer le mauvais sort, Éric Bellet préfère en sourire : « Voilà un produit dérivé aux couleurs de Darc qui nous manque… le parapluie ! On en fera faire pour l’an prochain, comme ça on ne s’en servira pas !» Et pourquoi pas s’en servir de parasol ?
Les claquettes
Bon, puisqu’on parle de la pluie et, comme c’est bien connu, la pluie fait des claquettes, on est allé voir Fabrice Martin. Le prof de claquettes de Lausanne (Suisse) fête ses dix années sur Darc. On peut dire que ses claquettes l’ont emmené au bout du monde. Il a présenté des spectacles jusqu’aux Etats-Unis, au Koweit… Tenez, en avril, mai, juin 2011, il sera à Paris au Vingtième Théâtre, dans Shoebiz, l’un des deux spectacles de claquettes sur lesquels il tourne, l’autre étant Box-Son. Elles sont très jolies ses claquettes à lacets rouges. Au fait, ça coûte combien ces chaussures si spéciales ? «Cela va de 40 € pour des chaussures de base à 400 € si elles arrivent sur mesure de New-York et customisés comme une voiture», répond Fabrice avec son sourire habituel. Ce mercredi matin, la pluie faisait donc quelques claquettes sur Darc. Puis, le soleil est revenu et devrait nous accompagner tout le reste de la semaine. En attendant, appuyez sur lecture et souvenez-vous, Nougaro…
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