#Vendredi : les objets du jour
Sentir bouger Darc, ce vendredi, à travers trois objets… défi quotidien relevé !
L’assiette
Pourquoi l’assiette ? Pour un jeu de mots à 80 centimes d’euro et affirmer sans complexe qu’à Darc on est toujours dans son assiette ? Que nenni. Je m’en vais vous conter l’histoire de l’assiette. Il était une fois, un dame Juliette, grande-grande chanteuse aux lunettes rondes, qui avait enchanté Darc il y a quelques années de ça.
Ce soir-là, en coulisses, une bénévole avait malencontreusement cassé une assiette… en plein milieu d’une chanson de Juliette qui avait intégré l’incident avec génie dans son spectacle.
Vous voulez la suite? Ce jeudi soir, comme Syan se produisait sur la grande scène du festival et que c’est lui qui avait fait la première partie de Juliette, Éric Bellet a rappelé cette anecdote au micro de nos amis de France Bleu Berri avant les concerts du soir. Et ce qui devait ariver arriva. Ce jeudi soir, en plein milieu de la chanson Les Cathédrales… Paf ! On a cassé une nouvelle assiette dans les cuisines des loges, derrière la scène. Comme l’avait fait Juliette, Gérard Lenorman a intégré l’affaire dans sa chanson avec métier. Moralité, on ne fait pas de grand Darc sans casser des assiettes…
La capote
Le préservatif, le condom, la capote… c’est comme on veut. Mais en ce début de week-end aux rencontres faciles d’un festival, il est toujours utile de rappeler qu’il convient de sortir couvert. Sur le stand «équilibre et santé » mis en place pour la seconde année, à Belle-Isle, sur le site du stage à Châteauroux, des professionnels sont là pour souligner l’importance de la protection. «N’oubliez pas non plus de parler du préservatif féminin qui n’a pas forcément la même notoriété», ajoute Séverine Dropsy, directrice du Comité départemental d’éducation pour la santé (Codes 36). Le Codes partage le stand de prévention avec l’Association nationale pour la prévention en alcoologie et addiction (ANPAA 36), l’Association de lutte et d’information sida (Alis 36), le mouvement du planning familial et le service de santé publique de la Ville de Châteauroux. Et le stand met des préservatifs à disposition.
Le balladeur
Abreuvé de musique du matin au soir, et vous croyez, vous, comme ça, que le stagiaire Darc aura étanché sa soif ? Perdu ! On a rencontré Marilou, qui jonglait d’un cours à un autre, ce matin, avec ses oreillettes branchées sur son téléphone en position balladeur MP3. L’Ipod est également l’objet phare du stage.
Dans ses oreilles, «Hey you» de Pony Pony Run Run. Marilou est plutôt pop-rock. «Entre deux cours, j’aime bien écouter de la musique, ça me réveille… et le soir, en rentrant, ça me détend», confie cette lycéenne des Yvelines, venue à Darc pour la seconde année consécutive, cette fois avec trois copines. Ok, mais vous n’avez pas déjà votre ration de musique lors des cours, demoiselle Marilou ? «Ce n’est pas la même chose. On n’écoute pas du tout la musique de la même manière quand on danse», répond cette Darcophage qui a opté cette année pour les cours de claquettes, magie, modern’jazz, barre à terre, initiation rythmique et hip-hop. Ouf, la musique dans le balladeur c’est plus reposant…
#Vendredi : bravo, c’était orange !
C’est vendredi 13 et ça se vérifie. Près de 40 % des votants avaient deviné la couleur de l’écharpe d’Éric d’aujourd’hui. C’était bien orange. Son indice sur la couleur d’une équipe à la Coupe du Monde de football était la Hollande. Et, en ce vendredi de match de Ligue 2, il avait promis à un supporter lavallois (!?!) de faire honneur à ses couleurs. C’est sympa, ça.
Bon, pour l’orange tango on repassera. « Oui, c’est plutôt saumon », concède-t-il. Ah, c’est l’intention qui compte. Et puis le saumon, ça va bien avec le football champagne. En réponse au supporter de La Berri qu’est le directeur de Darc on le crie haut et fort en pensant aux Berrichons qui s’en vont défier les crocodiles nîmois ce vendredi soir : Allez Berri, allez !
Au fait, les votes pour la couleur de l’écharpe de demain son ouverts. Cliquez dans la colonne de droite. Petit rappel des couleurs de la semaine : lundi, c’était jaune; mardi, blanc; mercredi, vert amande; jeudi, violet… et donc ce vendredi, orange.
La grâce d’Alokapari
Alokapari assure les cours de danse indienne au stage et toujours avec un grand sourire.
Darc : la grande famille de Thibault
Thibault vient depuis 10 ans au stage de danse. Pour lui, Darc est une deuxième famille.
Le Toulis nouveau est arrivé
Châteauroux est sa seule date en août. Ce vendredi soir, Eric Toulis sera sur la grande scène de Darc, à 21h, place Voltaire. Dans un entretien à La Nouvelle République (dans son édition de l’Indre à paraître ce vendredi 13 août), le chanteur confie pourquoi lui et son complice contrebassiste Brahim Haïouani connaissent bien la région… Son spectacle (produit par son copain Bénabar) est garanti 100 % nouvelles chansons. Dommage pour les fans qui voudraient entendre La Dame Pipi, Miss France ou La Tour Eiffel ? « Ceux qui me connaissent bien me confient en fait qu’on rentre dedans facilement parce que c’est bien déjanté», répond Eric Toulis.
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Allez, même si Miss France ne figurera pas dans le spectacle de ce vendredi soir, on ne résiste pas à le partager… Cliquez sur le player
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Syan, le bonheur de chanter
Syan, le Castelroussin, est de retour sur la scène du festival Darc, huit ans après son passage en première partie de Juliette, une grande dame de la chanson française.
Syan a lui aussi emprunté le chemin de la chanson française sans regrets, même si c’est un peu un parcours du combattant. La chanson, c’est sa passion. Chanter sur la belle scène de Darc, ce n’est que du bonheur.
… et le bonjour de Gérard Lenorman
En attendant le moment qu’il préfère, celui de monter sur scène et de retrouver son public, Gérard Lenorman est du genre à s’ennuyer.
Alors, dire bonjour à la Nouvelle République, ça l’a occupé quelques secondes et amusé.
Rendez-vous tout à l’heure, à 22 heures, place voltaire, à Châteauroux.
Vous avez le bonjour de Syan…
Syan s’est prêté à la désormais tradition 2010 du blog Darc’NR et nous dit bonjour avant d’être sur la scène du festival Darc de Châteauroux, ce jeudi 12 août à 21 heures.
Hop, hop, hop, c’est l’heure, faut y aller.
Cher Oncle Soul,
Ou Cher Ben, si tu préfères. Tu permets que je t’appelle Oncle Soul et que je te tutoie ? Tout semble si naturel avec toi que je ne crois pas que tu m’en tiendras rigueur. Je t’ai écouté et j’ai essayé de te voir sur scène, hier, en tentant vainement de fendre la foule qui a fait décoller le festival Darc. J’avoue que le grand écran m’a sauvé la mise.
Tu dis souvent que la soul, c’est la voix et la personnalité. Dans ton univers Motown des sixties, ton chapeau, ton nœud pap’ et j’en passe n’y feraient rien si tu n’avais pas ces deux ingrédients essentiels pour nous concocter tes recettes, dans ta petite cuisine en inox et formica.
Cher Oncle Soul, cette personnalité fait de toi un transporteur d’exception. Je ne suis pas loin de penser que, du haut de tes 25 ans, comme tu n’as pas connu cette période que tu fais revivre au public, tu es le plus libre des hommes. Tout cela n’éveille en toi ni tristesse, ni mélancolie, dis tu. Tu a épousé ce style, mais en couple libéré, en quelque sorte. C’est cette insouciance qui va droit au cœur du public. Et un tas d’autres choses aussi. Tu dois savoir pourtant que ton aisance d’artiste vintage émancipé charrie des sentiments qui touchent précisément à la mélancolie pour ceux qui ont connu de leur vivant les Otis, Aretha, Ray ou Wilson. Et c’est évidemment parce que ton côté show-man fait de toi, disais-je, un transporteur d’exception.
Ta musique a une âme. Tes reprises, qui renouent avec la tradition des « covers » des sixties, sont bien plus que de simples reprises. Tu trempes tes interprétations dans du bonheur. Même tes chorégraphies façon Temptations ont ce je-ne-sais quel décalage joyeux qui rend le public heureux. On a l’impression que tes courses frénétiques, tes bateleurs à casquette nous font passer ton spectacle en accéléré. C’est toujours trop court quand c’est bon. Dis-donc, tu n’épargnes pas non plus tes saxophonistes marathoniens ! C’était quand même un peu plus calme avec les Temptations, tiens, voici My girl…
Je disais que ton show était un excellent moyen de transport, une belle machine à rêves. Tu m’as donné envie de revoir The Commitments, tu sais, ce film d’Alan Parker dédié à la soul. Tu m’as fait repenser à la phrase du manager Jimmy Rabbitte sur la soul « qui t’emmène ailleurs et qui ne te raconte pas de salades ».
Cette foule et ce grand écran auront eu du bon. Ils m’ont donné envie de te revoir en concert, mais autrement, sans doute dans un endroit plus intimiste. Il n’empêche que, sur le grand écran, j’ai croisé tes yeux. Contrairement à ce que tu chantes, tu as dans ton regard ce petit quelque chose qui brille et qu’on retrouve dans celui de Spike Lee.
Tu es en tout cas plus que ce Soulman que tu chantes.
Merci et longue route à toi, Oncle Soul,
Et comme disait Aretha… tiens, je le françise comme tu le fais avec tes chansons, « ar-I-S-P-I-Ci-T ».
Respect, Monsieur Ben,
SébAcker
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