Quelle histoire ! A La Riche, les propriétaires fonciers des terrains de la future ZAC du Plessis-Botanique (1150 logements) pensaient pouvoir vendre leurs terrains à un bon prix. C’est sans compter sur une pollution (forte présence de pesticides) décelée lors d’une analyse des sols. Selon la loi, c’est aux propriétaires de régler la facture de la dépollution. Problème : ces propriétaires, souvent des indivisions familiales, sont dubitatifs et dénoncent une « manoeuvre » qui vise à baisser la valeur de leurs biens. Ils se sont constitué en association et engagé un avocat. Jacques Simon, le président de cette amicale des propriétaires a pour sa part décidé de planter des panneaux « revendicatifs » sur son propre terrain.
Du côté de la municipalité, l’adjoint à l’urbanisme Daniel Langé répond point par point à ses détracteurs, dans la Nouvelle République de ce mercredi 9 novembre.
Voici, en bonus, quelques images des fameux panneaux de Jacques Simon.