Juin, c’est le mois des festivals de jazz dans la région Centre !
Salbris, Cheverny, Orléans, on va se faire un petit récap’ rapide pour ne pas oublier les dates et les bons moments, mais je vous engage à cliquer sur tous les liens, pour dénicher toutes les perles des programmations, que je n’ai pas trop de temps pour vous détailler… pour l’instant.
Et on commence par les deux festivals du Loir-et-Cher, ça tombe bien, c’est chronologique !
Swing 41 à Salbris (Loir-et-Cher), les 5,6 et 7 juin, ouvre le bal de ce beau mois de juin que j’aime beaucoup, sauf parfois, la journée du 13, mais bon…( rien à voir avec la musique !)
A Salbris, beaucoup de concerts gratuits, ce qui permet vraiment de goûter aux charmes de ce festival de swing manouche à la très conviviale réputation. Les amateurs de guitare seront comblés, à moins que dépités, ils ne se mettent tous à l’harmonica, car les gars qu’on va entendre sous le chapiteau cette année sont de véritables légendes vivantes de la six-cordes (et plus si affinités) : Raphaël Faÿs vendredi, Birelli Lagrène et Sylvain Luc samedi…
Tiens, une question (facile) en passant : pourquoi y a-t-il un festival de swing manouche dans ce charmant village de Sologne, aux confins du Loir-et-Cher et du Cher ?
Jazzin’Cheverny (Loir-et-Cher toujours), du 11 au 14 juin, prendra la suite de ce fabuleux mois de juin… et arrivera peut-être à me faire passer une bonne journée le 13, sait-on jamais (mais encore une fois, rien à voir avec la musique)
D’ailleurs, ce fameux 13 juin, il y aura une vraie jolie surprise sur scène, devant le château de Cheverny, celui qui a servi de modèle à Hergé pour dessiner Moulinsard. Invitée par ses copines Carine Bonnefoy (piano) et Julie Saury (batterie), la jeune saxophoniste Géraldine Laurent, couverte de lauriers en 2008 (Django d’or, Victoire du jazz), sera de la partie ! D’autant plus enthousiasmant qu’il s’agira ce soir-là d’un projet musical inédit.
Autre belle surprise sans doute, la découverte du remplaçant de Pierrick Pedron dans l’octet de Fabien Mary le 11 juin. J’avoue, j’étais un peu déçue de ne pas voir tout de suite l’ange d’ Omry sur scène (il faudra attendre mai à Blois…), mais ce Dmitry Baevsky semble faire une très très grosse impression partout où il passe, comme en témoigne cet article sur le blog de Bruno Pfeiffer.
(à suivre)