Les problèmes de com’ de Laurent Koscielny

Jusque là, tout allait parfaitement bien pour l’ancien Tourangeau Laurent Koscielny. Intégration réussie à Arsenal, première convocation en équipe de France et finale de la Coupe de la Ligue anglaise, contre Birmingham City, modeste seizième de la Premier League anglaise.

Le défenseur français va finalement devoir patienter avant d’inscrire un premier titre sur sa carte de visite. La faute à un gros souci de communication avec son gardien, dont le nom – Szczesny – constitue déjà en soi tout un programme.

Malgré ses origines, Koscielny ne maîtrise  à l’évidence pas le polonais aussi bien que son coéquipier qui, de son côté, ne doit encore avoir que de vagues notions de français voire d’anglais. Ah, si Obraniak avait été dans le but d’Arsenal…

Grant Wahl, l’anti Sepp Blatter pour la FIFA

The Wahl : Un candidat très Pink Floyd

Grant Wahl est candidat à la candidature pour la présidence de la FIFA. Vous ne connaissez probablement pas son nom, et c’est bien normal ! Journaliste au mythique Sports Illustrated, Grant ne correspond pas vraiment à l’archétype du cravaté carriériste comme on en voit tant chercher à se faire une place au cœur du saint des saints. Même si sa nationalité américaine ne plaide pas vraiment en sa faveur, le « soccer » ayant un retard certain en guise de notoriété face au foot US, au base-ball ou au hockey au pays de l’Uncle Sam, ses idées, elles, méritent qu’on s’y attarde (son clip de candidat). Lire la suite »

La douceur du samedi matin : rate-la comme Ayovi

Pour bien débuter le week-end, dites-vous que vous n’êtes pas à la place de Jaime Ayovi. Cet attaquant équatorien évolue dans le championnat mexicain, sous le maillot de Toluca. Un maillot bien lourd à porter, parfois…

Prends ça dans les cotes ! (25 au 28 février)

Encore plus forts que feu Paul le Poulpe, Paulo le calamar et Les Pieds Carrés vous guident dans l’univers impitoyable des paris sportifs.

LE PARI VEDETTE :

(L1) Lille-Lyon, dimanche à 21h.

Les Lillois aiment bien les lyonnais. Déjà parce que sur le plan comptable c’est souvent une réussite (7 victoires pour 3 défaites lors des dix derniers Losc – OL en championnat). Ensuite, parce que ça l’est également sur le plan financier. Il y a toujours un Lillois qui tape dans l’oeil d’Aulas.

C’est ainsi que l’OL s’est offert pour la modique somme de 18M€ un dénommé Kader Keita. Revendu à moitié prix à Galatasaray (une belle oeuvre de charité!), il joue désormais au Qatar, un championnat pour pré-retraités avides de Golden parachutes.

Mathieu Bodmer avait face le chemin dans le même sens pour 6,5M€ avant d’être revendu environ 3M€ au PSG (quasiment le prix de son salaire annuel à l’OL : 2,4M€). Et enfin, n’oublions pas Jean II Makoun acheté plus de 14M€ et revendu à Aston Villa cette saison pour 6M€ (+ 3M€ de bonus). Ce qui aurait pu être pire puisqu’il ne lui restait plus qu’un an et demi de contrat.

Heureusement qu’il reste le contre-exemple Michel Bastos (acheté pour le même prix que Keita). Ce qui fait dire à Paulo que l’OL accrochera une équipe lilloise qui marque le pas.

Si vous avez 18 millions d’euros à la banque, investissez les sur un nul entre les deux équipes. Ce qui reste toujours moins risqué que de vouloir relancer la carrière de Kader Keita.

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L’amour est dans le pré… carré (2) : Piqué et Shakira

Les Pieds Carrés traquent les sentiments (un peu) et le bonga bonga (beaucoup) au… coeur du gazon.

Le look parfait du latin lover... ou pas

Non contents de pratiquer le meilleur jeu de la planète, les joueurs de Barcelone se mettent désormais à séduire les plus femmes de cette même planète. Ca devient limite énervant. Lire la suite »

Donnez-nous des buts !

Soyons francs, les matchs de ligue des champions de Lyon et de Marseille n’ont pas rassuré les amateurs de buts que nous sommes. Avec 2,4 buts par match en moyenne, notre championnat domestique n’affole pas les compteurs. Après cette 24e journée, la meilleure attaque reste celle du leader, Lille avec 42 buts marqué. En 2009-2010, la moyenne finale était également de 2,4 buts par match, en 2008-2009 on tournait à 2,3 ; 2007-2008 idem… bref, la pénurie ne date pas de cette saison.

Et encore, heureusement qu’on des joueurs comme Moussa Sow qui se révèlent chaque saison…

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Fais-moi mal, Chili, Chili, Chili

Equateur – Chili, match des moins de 20 ans, l’Equateur mène 1-0. On s’endort. Jusqu’à ce coup de génie de Bryan Carrasco.

Le petit latéral droit de la sélection chilienne, Carrasco, tout juste 20 ans, décide d’assumer d’un seul coup ses pulsions  masochistes. Il saisit la main de son adversaire direct et s’en sert pour s’asséner une grosse baffe dans le visage.

On imagine qu’il a dû ensuite enchaîner, en espagnol, par des « oh oui, vas-y, fais moi mal, tape moi, prends-toi pour Zoran Vulic et considère moi comme ton ballon personnel ».

Bon , j’arrête là, mais je suis sûr que le petit Bryan  a aussi parlé de cuir, de latex et évoqué le nom de Max Mosley…

Plus prosaiquement, Carrasco a obtenu un coup franc. Quand on a le vice dans le peau…

Mais le bien triomphant parfois du mal, le Chili a finalement perdu ce match.

Ji Sung Park vs Jin Hyung Song : pas la même chanson

La colle du jour : quel est le point commun entre Manchester United et le Tours FC ?
Ou encore : Qu’est ce qui est petit, jaune, et qui cavale ?

Song, pas (encore) le tube de la saison

Park, l'attraction

The answer is… (roulement de taïko) : un ailier coréen. Une fusée slalomeuse et silencieuse, pays du matin calme oblige. La discrétion incarnée dans la vie de tous les jours, mais une flamboyance certaine le ballon au pied. Ji-Sung Park est une icône en son pays, et pas seulement parce qu’il est devenu un Red Devil respecté et aimé des fans.

Jin Hyung Song, lui, est bien plus méconnu. Mais la différence fondamentale entre les deux joueurs n’est pas là. Et elle explique sans doute pourquoi le premier nommé rougeoie de plaisir en Premier League et en Ligue des Champions, pendant que le second peine à imposer son style chaloupé, malgré des débuts encourageants, en Ligue 2. Lire la suite »

Les procès en coiffure (2) : Ligue 1, my hairdresser is dead

Ligue des Champions, Europa League… Il reste une coupe où la Ligue 1 peut espérer sortir vainqueur cette année. Au royaume des tresses, du pento, de la décoloration, du gel, de la nuque longue, du couettou, du catogan… les footballeurs de notre verte première division professionnelle rendent hommage à chaque journée aux plus fins ciseleurs des salons de coiffure.

Cette galerie de portraits, extraits des sites officiels des différents clubs de Ligue 1, devrait suffire.

Un nouveau trophée pour la LFP : "la meilleure coupe de la Ligue 1"

Au sein de ce trombinoscope de référence 2010-2011, notons l’exception. Et oui, le FC Lorient au football de si bon goût ne recrute aucun joueur à extravagance capillaire. Le top présenté ici n’a rien d’exhaustif mais il a le mérite d’être représentatif des errements hâtifs à tiffs de nos joueurs dans leurs salons de coiffure.

Si des valeurs sûres comme le niçois Ljuboja, le lillois Gervinho, le toulousain Mansaré, le valenciennois Winbee (si si voyez par vous même)… d’autres effectuent une entrée fracassante. Le parisien Sakho est déjà une icône dans le domaine et a fait des émules du côté du rennais Camara. Le néo-bordelais André Felipe partage avec son compatriote de talent Neymar le même volume, peut-être pas encore le talent. Le méconnu brestois (injustement pourtant) Bruno Grougi a opté pour de la tresse de compet’. Lire la suite »

Ils sont fous ces Grecs !!!

Djibril Cissé (Panathinaïkos) a été frappé par des supporters de l'Olympiakos à l'issue du derby grec, ce week-end.

On savait que les enceintes sportives grecques sont très chaudes. Et encore, on fait dans l’euphémisme… Le derby entre l’Olympiakos Le Pirée et le Panathinaïkos d’Athènes en a offert un spectacle désolant au Georgios Karaiskakis stadium…

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