Le Tours FC nouveau est arrivé : on l’a goûté
Il faut vraiment être motivé pour se déplacer un samedi du mois de juillet au stade des Rives du Cher, à Tours. Certaines mauvaises langues diront que, peu importe la période de l’année, il faut de toute façon être sacrément motivé pour s’y rendre. Passons sur ce mauvais esprit.
Après une mise en jambes à Loches (ni jeu de mots, ni contrepèterie, ne cherchez pas), le Tours FC avait donc donné rendez-vous à ses fidèles dans son antre habituelle pour accueillir Le Mans et surtout dévoiler – un peu – de son nouveau visage. Armé de notre mauvaise foi, nous avons détaillé ce Tours FC nouveau :
Le coach
Peter Zeidler : nouveau, allemand et à casquette. Habitué de la Bundesliga, en tant qu’adjoint, il a dû halluciner en découvrant le stade de son nouveau club. Une fois remis du choc, « Peter le chauve » (critère de recrutement pour Max Marty ?) a chaussé sa plus belle casquette et assisté aux premiers pas de son équipe. Quelques applaudissements, encouragements et prises de tête plus tard, l’Allemand a dû se dire que si lui avait du boulot, eh bien, il n’est pas le seul. Arnaud Cormier et Le Mans, malgré leur succès (1-0), n’ont guère convaincu.
Le dispositif
Deux mi-temps, deux schémas : un 4-3-3 à la Lyonnaise (plutôt bonne époque, on espère) puis un bon vieux 4-4-2 des familles.
Zeidler expérimente, mais sa marge de manœuvre ne semble pas énorme. Comme l’an passé, la clé appartient aux latéraux, et même si certains observateurs estiment que Moimbé peut franchir un pallier cette saison (nous, franchement, on est pas sûr), Tritz, Moimbé ou Cétout (s’il ne file pas en Espagne) semblent encore loin du compte.
Les recrues
Bon, ça va aller vite, vu que Seul Gamiette est arrivé. L’ex-Rémois, c’est du trapu, du costaud, ça cavale, ça récupère et ça sait se projeter vers l’avant. Une sorte de Lassana Diarra version XL, mais qui serait encore au Havre. Ou alors un Djemba-Djemba ( si, si souviens-toi) avant que Manchester United ne lui fasse croire qu’il allait remplacer Paul Scholes…
Voilà pour les nouveaux, à moins de considérer Gherieni, qui avait planté sa tente à l’infirmerie pendant deux saisons, comme une nouveauté. Nous, en tout cas, on l’aura vu en tenue de footballeur, ce qui n’est pas donné à tout le monde…
L’avis général
Ca reste un match de début de préparation. Les mecs manquent de repères et de physique, et le coach expérimente. Donc, pas emballant, ni effrayant. A noter que le Leroy (avec Prince Oniangue dans la même équipe, y’a des vannes qui chauffent), dans les buts, pourrait bien débuter la saison comme titulaire.
L’info
Avec un public, disons, pour être gentil, clairsemé, on a pu entendre tout ce qui se disait sur le terrain. La grosse info, c’est que le Coréen Song est appelé… Song par ses coéquipiers, tandis que Genevois est lui surnommé… Nyarko, rapport à une ressemblance physique avec un ancien Monégasque que tout le monde a oublié.
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Qui a oublié Alex Nyarko ? Les Numéros 10 de la fin des années 90 en D1 s’en souviennent encore…
leurs chevilles, surtout, non ?
Le stade des Rives du Cher (ou du moins qui était situé aux Rives du Cher) s’appelait Victor-Lefèvre, s’était un joli stade vélodrome disparu il y a bien longtemps !