Tours FC : Max Martot enfonce le clou

Max Martot a la tête dure

> Un supporter du Tours FC a gagné le droit d’accompagner les journalistes tourangeaux à chacun de leurs déplacements pour suivre l’équipe tourangelle. Et comme il est poli, il se présente pour sa première saillie.

Salut les Footix ! Moi, c’est Maxime Martot alias Max Martot. Rigolez pas, c’est mon nom et ça fait marrer mes collègues au stade. J’affiche 31 berges, fut footeux et suis commercial dans une boîte qui fabrique du papier. Un peu comme mes nouveaux amis plumitifs de la Nouvelle République, en fait.

Je vais souvent les tanner après les matchs à la Vallée du Cher, avec mes analyses. Surtout depuis que ma femme m’a largué pour partir avec son boss, un Angevin… Comprenez ma douleur, faut donc bien que j’me nettoie la caboche en allant voir des p’tits Bleus jouer à la baballe.

Après quelques bières, ça ne devait pas toujours être brillant, quand j’débriefais en tribune de presse. Mais il faut croire que les journaleux m’ont pris en pitié. Peut-être encore d’avantage quand je me suis vanté d’être un cousin éloigné de David Martot, qui après être descendu de la Ligue à neuneu en National avec Vannes a trouvé un super club : le PEFC (Pôle Emploi Football Club).

Quand j’étais joueur, plus jeune, j’avais pas vraiment le style de David Martot, mais plutôt la grâce et la finesse de Johnny Ecker. On est outillé comme on peut.

Bref, ils ont pensé à moi au moment de choisir un consultant « spécial » pour pour les accompagner à chaque match à l’extérieur, et tenir une sorte de carnet de bar… heu… carnet de bord d’un fan du TFC.

Sur les Pieds Carrés, et avec mon regard en biais, je vais donc vous faire vivre les déplacements du Téeffcé.

> Accrochez-vous, ça s’appelle Max Martot enfonce le clou et ça va sûrement secouer. Pour son premier voyage en ballon, Maxime s’en va à Monaco. Et il a promis de nous donner des nouvelles dès son retour. Enfin, si les journalistes qui l’accompagnent le supportent encore pendant les 10 h du retour en voiture…