PSG/OM : le classico stars et paillettes

Les deux équipes les plus populaires de France se retrouvent dimanche pour le premier round de la saison. La province contre la capitale, le club popu contre le bobo bling bling, le « pauvre » contre le plein aux as… Le premier contre le deuxième ! Ce classico à la française, monté de toute pièce par la paire Canal+/Tapie dans les années 80, déchaîne les passions.

 

Paris ou Marseille ? C’est comme slip ou caleçon, chacun à sa petite préférence. Les célébrités ont aussi fait leur choix : Hollande, Sarkozy, Dujardin, Omar Sy, Maradona, Tsonga… Pour qui roulent-elles ? Qui a la plus belle équipe de stars ?

En toute subjectivité, les Pieds Carrés ont choisi les 11 types « showbizz » du PSG et de l’OM. Un choc paillettes avec des surprises, des retournements de vestes, des tacles assassins et des people prêts  à endurer tous  les coups pour défendre leur club.

> Notre 11 VIP du PSG

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

• Le style de jeu

A part un ou deux éléments, tout le monde a sa place réservée dans les carrés VIP des boîtes branchées de la capitale. Un côté bling-bling qui pèse sur le collectif. Dans le vestiaire, Lorànt Deutsch, formé à l’école Coco Suaudeau, compare son PSG à une équipe de Mickey. Bonjour l’ambiance.

Paris assume. Plus que des VIP, le club recrute des VRP. Pendant que Llodra est surpris en plein racolage sur les cours de Roland Garros, l’ailier droit Sarkozy fait du lobbying au Qatar en rêvant secrètement de devenir président (du PSG).

Et le foot dans tout ça ? Paris s’en remet à son attaquant de poche Jamel Debbouze, toujours à la limite du hors jeu. Un poison pour les défenseurs, le vélodrome peut en témoigner :

• Le cap’taine… Patrick Bruel

Le roi de la quinte flush et du cassage de voix est comme chez lui dans les salons VIP du Parc des Princes. Impossible à transférer, son image est trop associée au PSG. En déplacement, Bruel n’hésite pas à tenir tête aux ultras adversaires. Son coup de maître :  un tour de chant à Nice.

• La nouvelle recrue… Pascal Gentil

Classé pendant des années côté marseillais, le champion de Taekwondo s’est fait « Zlatané ». Pascal Gentil est tombé sous le charme de l’attaquant suédois. Il faut dire qu’entre deux taekwondoïstes, on se comprend.

> Notre 11 VIP de l’OM

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

• Le style de jeu 

Tout pour l’attaque avec son maestro Diego Armando Maradona, sans conteste la plus grande star de nos deux 11 du classico. Et mieux vaut en profiter car comme « El Loco » Bielsa, « El Pibe de Oro » peut prendre la poudre d’escampette sur un coup de tête. Ambassadeur discret de l’OM, celui qui a joué au club le temps d’un numéro de « L’équipe » en 1989 a définitivement fait son coming out il y a deux ans.

Point noir de cette équipe : la défense. Foucault, bien que très investi dans la vie du club, multiplie les erreurs de marquage. Le roublard Jack Kachkar l’a baladé pendant tout un match, une « sacrée soirée » s’en amuse encore le Vélodrome. Moins drôle, cette note de frais de 27.000 euros laissée sur le bureau de la compta du club par son compère de l’axe Jean Dujardin.

L’OM pensait régler tous ses problèmes avec l’arrivée de Hollande, mais le gaucher a vite été pris en grippe par les supporters.  Il faut dire qu’on ne sait pas trop si François a signé à l’OM par passion ou pour embêter Nicolas, son ex-camarade du centre de formation. En tout cas, les deux joueurs ne se parlent plus depuis ce fameux tacle par derrière de mai 2012.

http://www.youtube.com/watch?v=0ijiXcvf8TU

• La cap’taine… Clara Morgane

Malgré un début de carrière dans quelques-uns des clubs les plus sulfureux de la planète, son cœur a toujours battu pour l’OM. Comme le grand Zidane, sa seule présence peut faire gagner un match. Son coup de maître : une mystérieuse visite dans le vestiaire du PSG à quelques minutes d’un classico… L’OM l’emporte 1-0 contre des parisiens amorphes.

 

 

 

• La nouvelle recrue… Omar Sy

Et Doudou, tu viens plus aux soirées Parc des Princes ? Parisien et supporter du PSG depuis le berceau, Omar Sy nous fait un retournement de veste dont seul Fabrice Fiorèse a le secret. Il est tombé sous le charme « de la passion marseillaise ».