Le Top 11 improbable (9) : 2 prénoms pour jouer les stars

1. Steeve Elana (Del Rey)

L’ancien portier de Brest s’apprête cette saison à rendre hommage à l’interprète de « Video games ». Au vu des performances de Landreau, Elana va en effet davantage pourvoir se perfectionner sur PES que fouler la pelouse du Grand stade de Lille. 

Du gâchis tant Steeve maîtrise le pas-chassé :

2. Walter Samuel (Etienne)

Toujours plus fort : 3 prénoms pour le prix de deux, et nous voilà avec un mix étonnant du boucher de l’Inter Milan et de l’esthète de l’info sur France 3. 

Si Samuel s’intéresse aux racines et aux ailes, Walter lui, se contente de couper les ailes des attaquants tout en citant Racine : « J’embrasse mon rival, mais c’est pour l’étouffer » (Britannicus).

3. Sylvain Armand (Cesari)

En quête de temps de jeu à Paris, l’ancien latéral nantais pourrait rebondir sur la pelouse du stade de Bastia, qui cherche toujours à recruter au moins 1 défenseur de qualité. Bon, déjà au moins 1 joueur de qualité, ça serait pas mal.

4. Patrice Rio (Mavuba)

L’ex-stoppeur de Nantes aurait sûrement apprécié d’avoir le Lillois en sentinelle devant lui. Car Rio, à Nantes ou à Lille, c’est Grand(e). Spéciale cace-dédi à Eddy… (Capron ?).

Eddy Capron !!!! Allez, on se fait plaisir : perdu de vue + itw mythique + sautron – les herbiers dans la même vidéo, avec, en bonnus le « ce match on l’a joué dans la tête il y a quinze jours » :

5. Loïc Lambert (Wilson)

 

« Vous n’avez encore rien vu » : c’est ce que disait Lolo aux attaquants adverses dont il venait de chatouiller les chevilles.

Vous n’avez encore rien vu, c’est aussi ce qu’aurait pu dire Wilson… Oruma aux tribunes de L1 à l’heure d’armer l’une des ses frappes super(ou pas)soniques.

6. Bruno Germain (dans le sac)

Coup de boule ou coups de lattes, PSG ou OM, le grand chauve aux crampons de 18 n’a jamais lésiné quand il s’agissait de calmer les ardeurs adverses. Et les arbitres ont pu largement s’arrondir leurs fins de mois sur son dos.

Reste à expliquer au fiston – Valère – qu’il est temps de perpétuer la tradition et de remiser les dribbles au vestiaire pour enfiler, à Monaco, le bleu de chauffe (Marcel… Dib.) 

7. Henri Michel (Rio)

P***tain, mais il est partout ce Mavuba. Plus sérieusement, on passera vite sur Henri Michel, ancien stratège nantais parti arrondir son compte en banque et son tour de taille en Afrique, pour s’intéresser à Michel Rio, dont Wikipedia dit qu’« il connait l’apogée de sa carrière à Caen ». Wouah, là, ça te pose un footballeur.

8. Jérémy Mathieu (Valbuena)

Combiner le latéral gauche de Valence au meneur de jeu du Boyard FC, fallait oser. L’enfant né de cette union devrait beaucoup crier, se rouler par terre à chaque contrariété et expédier des merveilles de centre. Pas très utile chez la nounou.

9. Samuel Michel (de la Quintra del Buitre)

De Niort au Real Madrid, voilà un improbable voyage en ballon. Sam’ Mich’ a fait une super carrière en L2, et Michel une super carrière tout court.

10. Johann Paul (Une Tourtel)

Un joueur qui peut jouer jusqu’au bout de la nuit…

11. Loïc Remy (sans famille)

Buteur de l’OM peut-être, mais surtout héros d’un générique mythique :

http://www.youtube.com/watch?v=3M7yz-8D7fk