Le Grand Replay d’avril

Le Grand Replay, c’est l’occasion de faire un retour en arrière sur les faits qui ont marqué la planète foot lors du mois écoulé.

> Le crack du mois : Hatem Ben Arfa.

Si Newcastle est revenu au tout premier plan dernièrement en Premier League, c’est en grande partie grâce au joueur formé à Lyon. En avril, il a enchaîné les grosses performances, marquant notamment un but phénoménal face à Bolton et distribuant une multitude de caviars à Papiss Cissé (oui oui, celui qui peinait à mettre un pied devant l’autre à Châteauroux et qui enfile maintenant les buts comme des perles). Son coach, Alan Pardew, est son plus grand fan. Il se fait tellement remarquer qu‘il postule désormais très sérieusement à une place à l’Euro. Qu’en pense Abd al Malik ?

Ben Arfa ferait bien de ne pas poser ses vacances avant juillet

> Le come-back du mois : Manchester City.

Battus lors de la 32e journée de championnat, le 8 avril, par Arsenal en toute fin de match (1-0), les Citizens comptaient alors 8 points de retard sur le leader, United. Autant dire un gouffre.

En quatre journées, la situation s’est inversée. Et après une dernière victoire des joueurs de City lors du derby de Manchester, le 30 avril (1-0), les joueurs de Mancini ont repris les commandes, à la différence de buts, alors qu’il reste deux matchs à jouer. Ce resdressement coïncide également avec le retour de Tevez à un poste de titulaire. Hasard ? Pas si sûr…

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Le dico du parler foot : « batard, ce n’est pas une insulte »

Je me souviens avec nostalgie de visites, enfant, au Stade de la Beaujoire (à Nantes, oui, oui, à l’époque où il y avait encore du football). Les dirigeants de l’époque avaient installé derrière les buts des panneaux « oh hisse, allez Nantes ». Une tentative subtile (ou pas) – et en tout cas totalement inefficace – de détourner le fameux « oh hisse enc… » qui accompagne, dans chaque Stade de France, le dégagement du gardien de but.

Bref, tout ça pour parler de Nantes – c’est pas tous les jours, s’il faut attendre un but de Pancrate, hein…  – et pour dire que le football n’est pas spécialement caractérisé par la finesse de son langage.

C’est donc sans surprise que les Lyonnais, vainqueurs de la Coupe de France, se sont laissés aller à une célébration tout en mesure de leur trophée, adressée à leur rival historique, Saint-Etienne :

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Pourquoi les joueurs de Chelsea sont-ils toujours blessés ?

Le footballeur est, par nature, un simulateur. Et dans cet art subtile de la triple roulade au sol et du cri de douleur, le joueur de Chelsea est devenu un expert. Démonstration avec Didier Drogba :

Pourquoi ce goût de la comédie et de l’éxagération s’est-il développé dans le club londonien plus qu’ailleurs ? Tout simplement parce que qui dit blessure, dit appel au soigneur…

Bon, ce n’est certes pas toujours une bonne idée de faire appel au kiné :

Mais à Chelsea, c’est en revanche un plaisir de faire venir le médecin de l’équipe sur la pelouse. Car ce médecin est une femme. Et pas Docteur Quinn, mais plutôt Eva Carneiro.

C'est fini, les soigneurs chauves et à moustache

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L’avocat du diable (1) : la jurisprudence De Jong

L’objet du délit, en vidéo :

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La douceur du samedi matin : plus vrais que nature

C.L.I.P.S. : spécial femmes de footballeurs !

Des Crampons, de la Lose, des Idoles (ou pas), des Perles et du Son (pas toujours bon)… C’est C.L.I.P.S. ! Chaque semaine, les Pieds Carrés vous sélectionnent un clip incontournable dans lequel apparaît un footeux. Ouaich Gros ! Représente !

Après une petite semaine de pause, C.L.I.P.S. revient avec un esprit très… printanier ! Pas envie de s’intéresser aux pelouses vertes, ni aux mecs en short qui court dessus… Non, aujourd’hui, votre rubrique musique préférée de votre blog adoré se penche sur le cas des femmes de footballeurs. Car elles sont finalement nombreuses à pousser la chansonnette pendant que leur mari, compagnon, relation, amant font les coqs en poussant un ballon. Voici notre Top 4…

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Chante la comme : les joueurs du PSG

Que les fans du Paris Saint-Germain soient rassurés : le ridicule ne tue pas. Heureusement, d’ailleurs, sinon Paris n’aurait aujourd’hui plus d’effectif. Le club de la capitale a en effet eu la riche (normal pour le Qatar SG) idée de célébrer ses 40 ans d’existence en faisant enregistrer à ses joueurs l’hymne du club.

Sur l’air de Go West, des Pet shop boys, l’oeuvre n’est, disons, pas complètement convaincante. A vous de juger :

A noter que Peguy Luyindula figure dans la vidéo : pas assez bon pour jouer, mais suffisamment pour chanter. Ou pas.

Seul bénéfice, finalement, à tirer de cette désastreuse production : la confirmation qu’avec un casque sur la tête, n’importe qui a l’air benêt.

La douceur du samedi matin : en danois mur se dit Windfeld

Nous sommes en 1997, et le FC Nantes est encore une place forte du football français (eh ouais, les jeunes, Nantes était un gros club… avant). Engagé en Coupe UEFA, les Canaris ne comptent faire qu’une bouchée des Danois d’Aarhus.

Sauf que, dans les buts, un certain Lars Windfeld va absolument tout repousser. Et comme, en face, Landreau (tout jeune, avec une coupe de cheveux disons, en chantier) est un peu moins inspiré, forcément, le FCN a perdu 1-0… Le mur en vidéo, et commenté en danois. Une perle.

Salaires d’entraîneurs : le classement alternatif

Un site portugais vient de sortir le classement des entraîneurs les mieux payés. On y apprend – quelle surprise – que Jose Mourinho est le Financial One, avec 10 millions d’euros par an.

Plus surprenant, ou pas, l’entraîneur d’un club français figure au cinquième rang : Carlo Ancelotti, qui va se palper 5,9 millions d’euros en 2012, a déclaré récemment être « prêt à payer les taxes en vigueur en France ». Si les 75% proposés par François Hollande sont adoptés, et que l’Italien reste quelques saisons au Qatar Saint-Germain, il pourrait donc presque à lui tout seul combler le trou de la Sécu…

Plus sérieusement, nous vous proposons notre classement des 5 entraîneurs les mieux payés du foot mondial… en nature. Et là, les surprises ne manquent pas…

1. Roberto Mancini (Manchester City) :

soins capillaires à volonté

Parce qu'il le vaut bien

Roberto Mancini n’a jamais été du genre à mégotter sur les brushings et/ou sur les tubes de Elnett. Longtemps à découvert en raison de cette dévorante passion capillaire, il a réussi à négocier la prise en charge de ses cheveux dans contrat à Man City.

Effarés par les factures de « John, coiffeur for men », les propriétaires du club anglais, venus du Golfe persique, ont dû augmenter le prix du baril de pétrole pour rentrer dans leurs frais.

A chaque fois que Mancini passe sa main dans les cheveux, c’est un plein de gazole qui part en fumée. En plus, il consomme bien du 7 litres aux 100…

Et hop, encore un plein de gazole...

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Le Top chef des Pieds Carrés (2) : Norbert, le footballeur

La semaine dernière, les Pieds Carrés vous avait offert une lecture technico-tactique de Top Chef, le concours culinaire d’M6. Un candidat avait particulièrement retenu notre attention : Norbert Tarayre.

Arrête de jouer avec la nourriture, Norbert !

Et pour cause, le bonhomme a une gueule, le phrasé qui va avec… Son parcours est atypique. Il l’a dévoilé avec son franc-parler dans La Nouvelle République. Mais surtout, le garçon aurait pu devenir footballeur. Oui, vous avez bien lu : Norbert, le trublion de Top Chef, est passé à côté d’une carrière pro. On a enquêté et on vous dévoile la face cachée du « Norb ».

La face cachée du « Norb »

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