Depuis 1816, à la Mothe Saint-Héray, dans les Deux-Sèvres, on fête les rosières. Ce sont, à l’origine, de jeunes mariées méritantes et indigentes dotées grâce au legs de la fortune d’un altruiste avocat.
Sans vouloir être moqueur ou persiffleur, la 372ème rosière mériterait peut-être une plus belle salle pour le grand banquet du dimanche. Malgré la bonne volonté des quelques bénévoles, l’écrin rendrait malheureuse plus d’une jeune mariée…
Le gymnase de la Mothe St-Héray (Photo Éric POLLET)