Le Pen, Poutou, Dupont-Aignan, Boutin, Villepin, (Sarkozy)… Et si finalement ils n’étaient pas candidats ?
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Candidats ils le sont, ils l’ont dit. Marine Le Pen pour le Front national, Philippe Poutou pour le NPA, Nicolas Dupont-Aignan pour Debout la République, Christine Boutin pour le Parti chrétien-démocrate, Dominique de Villepin pour République solidaire… Ils sont candidats mais pourraient ne plus l’être au moment de prendre le départ officiel, faute d’avoir réuni les parrainages exigés par le Conseil constitutionnel. C’est Marine Le Pen qui a soulevé la question dimanche, une question que se posent pour tous les « petits » candidats, comme pour les plus redoutés.
Dans une interview au Parisien dimanche, Marine Le Pen avoue que la collecte des 500 signatures « va encore être un souci » pour le Front national. « Les soutiens étant rendus publics, de moins en moins de maires donnent leur signature aux candidats pour ne pas avoir d’ennuis. Ils craignent notamment des mesures de rétorsion qui les priveraient de subventions pour leurs équipements ». Son père, Jean-Marie Le Pen, avait dû renoncer à la course présidentielle en 1981 car il lui manquait 20 soutiens.
Nicolas Dupont-Aignan à lui manqué le coche en 2007 faute de 52 signatures. Comme pour d’autres représentants de « petits » partis, moins médiatisés que leur aînés, il lui faudra donner de sa personne pour convaincre 500 des maires des 36.000 communes française à lui apporter leur soutien.
La question se pose pour Christine Boutin, qui avait pensé se présenter en 2007 avant de renoncer ; pour Dominique de Villepin, qui a perdu de sa superbe, pour Philippe Poutou, qui n’a pas la notoriété d’Olivier Besancenot…
Quant à Nicolas Sarkozy, s’il est évidemment assuré de réunir les signatures requises sans avoir à passer par le porte-à-porte, il pourrait encore renoncer, se plaît à croire la candidate du FN : « Je ne suis même pas sûre qu’il sera candidat. S’il plafonne encore à 22% en janvier, il n’ira pas au bout ».