Dans le cambouis de la littérature d’usine…
Posté dans Kesketuli ? sur 3 jan 2021
« Je me considère héritier de cette conscience ouvrière. On hérite de ce qui est mort de toute façon. » Dans le journal suisse Le Temps, en septembre dernier, Thomas Flahaut résumait aussi son travail, engagé en 2017 avec la publication de son premier roman « Ostwald » qui déjà évoquait le monde ouvrier dans un contexte post-apocalyptique, en présumant d’une explosion à la centrale nucléaire […]