Parce qu’il faut (toujours) tuer le père…
Posté dans Kesketuli ? sur 27 août 2020
Rentrée littéraire Un premier roman. L’un des soixante-cinq que nous offre cette rentrée littéraire post-Covid. Encore une fois, j’ai entamé une danse de la joie ! Avec « La Fille du père », Laure Couraige signe un texte fort sur la relation père-fille écrasante, étouffante, aliénante. Bref, toxique. Pas si courant. Alors pour s’en libérer, la narratrice a pris […]