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Michel Gendrier, 7e génération du domaine des Huards à Cour-Cheverny (Loir-et-Cher) a choisi la biodynamie en 1998.

Ce qui l’a décidé, ce sont des essais réalisés en Suisse… sur des carottes !

« Je trouvais depuis longtemps les vignes en biodynamie plus belles que les autres, commente Michel Gendrier. Mais j’ai mis dix ans à franchir le pas. Ce jour-là, j’ai décidé d’y aller, et de ne plus me poser de questions. »

Une décision que le vigneron de Cour-Cheverny, déjà labellisé en bio, n’a jamais regrettée.

GENDRIER BIODYNAMIE

Michel Gendrier, domaine des Huards (photo C.Simon)

En ce jour d’hiver, la diversité des plantes qui poussent spontanément entre les rangs de vignes de l’exploitation familiale fondée en 1836, le réjouit.

« Cet été, les vignes n’ont pas du tout souffert de la sécheresse, ajoute-t-il, et comme d’habitude, mes raisins ont été mûrs plus tôt qu’ailleurs. »

Mais la biodynamie, c’est quoi au juste ?  Inspirée d’un concept philosophique développé par un certain Rudolf Steiner en 1924, c’est une approche globale visant à produire des aliments sans contrecarrer la nature. La vie du sol est au coeur des préoccupations, mais la pratique culturale tient également compte du calendrier lunaire. (Voir aussi cette vidéo)

La biodynamie utilise des tisanes de plantes (ortie, prêle…) et quelques préparations spécifiques : bouse de vache décomposée dans des cornes pour enrichir le sol en bactéries et champignons, poudre de silice diluée dans l’eau et pulvérisée sur les vignes pour améliorer la photosynthèse.

« C’est comme dans l’homéopathie, on est dans des doses infimes, et pourtant des vignerons de Corse voudraient encore les réduire, parce qu’ils craignent les brûlures sur les feuilles » commente Michel Gendrier.

Face aux sceptiques qui taxent la biodynamie d’ésotérisme, le vigneron de Cour-Cheverny a une réponse simple : « Je leur demande s’ils croient aux marées ! »

Depuis 1998, la biodynamie fait merveille dans ses vignes. Dans ses vins aussi, qu’il estime « plus tendus, avec plus de finesse, de minéralité ».

Les amateurs ne s’y trompent pas, qui ont fait des cuvées du domaine des Huards des vins de référence.

Notamment la cuvée François 1er, issue de vignes de cépage romorantin d’une parcelle plantée en 1922 par Eugène Magloire Gendrier. La lune et les tisanes de plantes réussissent plutôt bien à ces fringantes octogénaires !

>>> Le site du domaine des Huards

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 Valérie Forgues le dit sans ambages : « Je suis dans un virage, ce n’est pas facile, mais je commence à aimer mes vins et à y trouver du plaisir… » Ce virage, celui de la conversion en viticulture bio entamée en 2013, n’est pourtant pas le premier qu’elle a dû négocier.

VALERIE FORGUES

Valérie s’est inspirée de ce tableau, peint par sa grand-mère, pour ses étiquettes. (Photo C. Simon)

Fille d’une prof de piano et d’un psychologue, elle surprend sa famille en se tournant vers l’agriculture après son bac, passé à Tours. « J’ai toujours aimé les animaux, je montais à cheval et j’adorais crapahuter dans le fumier, se rappelle-t-elle en rigolant, j’étais très citadine, mais la vie rurale m’attirait. »

La réalité des élevages intensifs, découverte à l’école supérieure d’agriculture d’Angers, et l’envie de voir du pays amène Valérie Forgues à travailler dans l’import-export de viande, puis de jus de fruits, en Allemagne. Une rencontre la fait revenir en France au bout de huit ans, et atterrir à Mareuil (Loir-et-Cher) dans la vallée du Cher, en 1997.

Mais en 2008, Valérie Forgues se retrouve seule avec ses deux jeunes enfants, à la tête du Domaine de la Méchinière. « Cette installation, ce n’était pas mon projet, dit-elle, mais parce que j’avais un diplôme agricole, le domaine était à mon nom. Il y avait la maison, les enfants… J’ai décidé de relever le défi, avec leur accord. »

Valérie a toujours été « une grosse bosseuse ». Avec le salarié de l’exploitation et un coup de pouce familial, elle sauve la vendange.

« Et puis, mon voisin, Didier Barrouillet, m’a proposé son aide, et là tout a changé, assure-t-elle, il m’a apporté ses compétences, sa compréhension, il m’a fait grandir dans ce métier. » Quitte à se lancer des défis, la voilà qui décide donc en 2013 de passer en bio, à l’instar du vigneron du Clos des Roches blanches.

Remarqués par la presse spécialisée, ses vins qu’elle veut « simples et bons, exprimant leur terroir », issus des six cépages traditionnels de la Touraine (dont de vieilles vignes de pineau d’Aunis et de menu pineau) commencent à séduire une clientèle de plus en plus large.

Et les enfants devenus grands, Valérie reprend peu à peu la route des salons et de l’export. D’un virage à l’autre, cette vigneronne de caractère prouve qu’elle sait plutôt bien forcer le destin.

Nouvelle preuve ? Elle sera les 2 et 3 avril la « vigneronne invitée » du 7e salon des vins libres, Vinaviva, près de Tours (Indre-et-Loire), pour ses vins issus de vieilles parcelles de pineau d’Aunis et menu pineau.

>>> Le site du domaine de la Méchinière

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Les 2 et 3 avril, le salon Vinaviva ouvrira les portes de sa 7e édition, à Saint-Etienne-de-Chigny, pas loin de Tours (Indre-et-Loire).

Si ce rendez-vous d’amateurs sans chichis a toujours aimé les vins naturels et bio, il a carrément décidé pour cette édition 2016 d’aller plus loin dans l’authenticité, en privilégiant les vins issus de cépages dits modestes.

vinaviva

Cépages modestes ? Autrement dit des cépages indigènes, mais supplantés au fil du temps et des décisions des appellations par d’autres, plus productifs, moins sensibles aux maladies, plus alcoolisés, plus au goût du jour, etc

Heureusement, des vignerons travaillent depuis des années à sauver, valoriser et faire apprécier ces cépages, aux vraies qualités pour peu qu’on prenne le temps de les comprendre et d’adapter le travail de la vigne en conséquence.

En Loir-et-Cher, il y a le romorantin, qui a fini, à force de ténacité d’une toute petite poignée de vignerons, par obtenir la reconnaissance de l’appellation cour-cheverny il y a 20 ans. Et il commence à acquérir une vraie réputation, surtout hors des frontières françaises. Les 60 hectares cultivés ici, entre Chambord et Cheverny, sont les seuls au monde.

Mais on peut citer aussi le menu pineau, le pineau d’Aunis, ou encore le fié gris, tous cépages ligériens donnant des vins aux caractéristiques étonnantes, profondément liés à leurs terroirs, hors de toute standardisation.

Vinaviva sera l’occasion d’en découvrir quelques uns d’ici, et beaucoup de partout ailleurs : Beaujolais, Languedoc, Roussillon, Jasnières, Alsace, Bordelais… 25 domaines au rendez-vous, chacun avec ses vins typiques, d’un terroir et d’une histoire. Viva Vinaviva !

>>> Le site internet de Vinaviva, avec la liste des vignerons participants, etc

>>> Il y a aussi une page Facebook pour suivre l’actualité de Vinaviva

 

 

 

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Le menu pineau , de tous les cépages modestes encore présents en Loir-et-Cher, semble être le seul à  pouvoir revendiquer une origine loir-et-chérienne pur jus.

Et bientôt, une présence royale  (scoop mars 2016 tout frais !)… Le Domaine de Chambord, sur les conseils avisés de Luc Percher, vigneron bio à Cour-Cheverny et président de l’association régionale filières vins, a décidé de planter 6 hectares de menu pineau, qui seront vinifiés en IGP Val de Loire. Classe !

menu pineau

menu pineau

« Même si on en trouve un peu en Indre-et-Loire, c’est un cépage endémique du. Loir-et-Cher, confirme Jean-Luc Tessier, viticulteur bio et pépiniériste avec son épouse Aurélie à Faverolles-sur-Cher, et plus particulièrement de la vallée du Cher. Mais s’il en reste 50 à 60 hectares aujourd’hui, c’est un maximum. »

Arbois de son nom officiel – à ne pas confondre avec l’AOC arbois, dans le Jura ! –, le menu pineau est aussi communément appelé « orbois ». Petit cousin du chenin, ce cépage blanc est plutôt productif s’il n’est pas maîtrisé par une taille sérieuse. « Son raisin était réputé acide, ce qui convenait pour le vin blanc de base des pétillants en méthode dite champenoise, explique Jean-Luc Tessier. En réalité, on le récoltait sans doute beaucoup trop tôt, car ce cépage, s’il débourre précocement, est d’une maturité tardive. »

Malgré son statut de local de l’étape, le menu pineau a aussi été écarté de l’AOC touraine l’an dernier, en attendant la refonte de 2016. « C’est pourtant un cépage de qualité, pour peu qu’on en maîtrise les rendements et qu’on le laisse mûrir, défend Jean-Luc, si c’est en vin tranquille, il demande un peu de temps d’élevage, que ce soit un peu plus fondu. » « Il peut donner un vin aux arômes d’ananas, et même de miel, mais tout dépend de sa vinification », renchérit Aurélie.

Depuis quelques années, le menu pineau bénéficie d’un regain d’intérêt des vignerons, bio en particulier. Ce qui intéresse doublement les Tessier, dont la seconde activité est la pépinière de vigne. Dans les quelque 100.000 plants qu’ils greffent à l’année, le sauvignon reste majoritaire.

Mais les Tessier travaillent aussi en « pépinière privée » avec des vignerons, qui font leurs propres sélections de bois – on appelle ça des sélections massales –, pour replanter du pineau d’Aunis, du grolleau, ou du menu pineau. « On subit des contrôles plus stricts qu’avec les clones, mais c’est plus intéressant, pour préserver la diversité. » Un tel effort mérite de trinquer – avec modération – au menu pineau, pour préserver de toute disparition cet unique cépage de Loir-et-Cher. Santé !

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Dans toute la France, mais aussi en Belgique, en Allemagne et en Suisse, on fêtera le 19 mars prochain le printemps des vins naturels.

Où ça ? Dans une des boutiques de caviste, adhérents au réseau des cavistes alternatifs.

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Comment ? Dans ces boutiques, des vignerons motivés et heureux seront présents pour vous faire goûter leurs vins, expliquer leur travail, et échanger librement et en toute transparence, mais surtout passer un bon moment !

Pourquoi ? Parce que le vin naturel, contrairement à ce qu’on pourrait imaginer, n’est pas légion dans la production française.

Un vin naturel, en deux mots, c’est un vin dont les raisins ont été cultivés en bio ou biodynamie, et qui n’a bénéficié d’aucun des dizaines de produits chimiques ajoutés dans les cuves pour devenir un bon vin. Seul un peu de soufre, le moins possible, est utilisé pour la conservation lors de la mise en bouteille.

Si vous ne le saviez pas, voici tout ce qu’on peut trouver dans un vin « conventionnel », ce qui n’est malheureusement jamais écrit sur l’étiquette.

Source : http://www.vinsnaturels.fr

Source : http://www.vinsnaturels.fr

Certains vous diront que le vin naturel, c’est pas bon, d’autres à l’inverse qu’il n’y a que le vin naturel de bon.

Vous savez quoi ? Allez en goûter chez votre caviste alternatif le 19 mars et discutez avec les vignerons, vous ferez votre opinion tout seul !

>>> Où trouver les cavistes alternatifs membres de cette association

En Val de Loire par exemple, on en trouve à Tours et Amboise, à Angers et dans la région de Nantes.

>>> Le site des vins naturels, pour en savoir plus avant ou après avoir été goûter

 

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Le 26e salon des vins de France de Villebarou, près de Blois (Loir-et-Cher) aura lieu les 12 et 13 mars 2016.

Un salon qui, sous des dehors classiques, s’est transformé gentiment mais sûrement ces dernières années, en un des premiers salons de vins à tendance nature de la région. En cause ? Le bon goût de l’association d’amateurs qui sélectionne les vignerons participants.

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Villebarou, c’est l’occasion, unique dans la région Centre-Val de Loire, de rencontrer quarante vignerons venus de toute la France (et un peu d’Italie, car Italia ci piace !) parmi ce qui se fait de plus intéressant dans toutes les appellations… et dans toutes les régions de « vins de France », car il y en  pas mal qui préfèrent s’affranchir des diktats inaotesques.

Je ne vous fais pas de name droping, ils y sont tous, les Jeff Coutelou, Mathias Marquet, Jean-Baptiste Sénat, Laurent Herlin, Marcel Richaud, Fred Sigonneau, et autres Patrice Colin, Olivier Bellanger… et tutti quanti.

Petit conseil : si vous avez envie de goûter ce que proposent les nouveaux exposants de cette édition (trois cette année, plus un producteur de pineau et cognac), prévoyez de venir le samedi. En général, les nouveaux n’ont jamais rien à vendre le dimanche. L’année suivante, ils ont compris, ils amènent du stock.

>>> Le site du Salon des vins de France de Villebarou

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La biodynamie, tout le monde en parle en ce moment, mais peu de gens savent ce qui se cache derrière ce terme.

Ou bien on la confond avec la bio tout court, ou bien on a entendu dire que c’est une série de pratiques bizarres, de rituels dans les vignes à la pleine lune, de préparations bizarres à base de bouse de vache…

En une vingtaine de minutes, un petit film, In Vino Vita, réussit à faire toucher du doigt au plus large public ce que peut être la biodynamie, appliquée à la culture de la vigne.

Ce n’est pas un mince exploit !

 

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Petite infidélité aux vins du Loir-et-Cher en vue  avec une descente dans l’Anjou !

En Joue Connection, c’est le nom de ce salon dont la 5e édition aura lieu à Rablay-sur-Layon, près d’Angers (Maine-et-Loire) les 12 et 13 décembre qui viennent.

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Un salon créé par une association de vignerons-artisans angevins respectant les principes de l’agriculture biologique et limitant les interventions pendant la vinification afin de respecter l’intégrité du raisin et du millésime…

Un parti-pris qui ressemble comme deux gouttes de cabernet franc à la charte de l’association des Vins du Coin, et qui donne envie d’aller, près d’Angers ce week-end et sans danger, tirer quelques quilles. En paix !

Si vous avez des chouchous à promouvoir, faites.

Des vignerons annoncés, je n’ai (eu) que de la Grange aux Belles dans la cave, seul domaine peut-être à remonter régulièrement la Loire pour venir faire goûter ses vins dans nos contrées septentrionales. Voilà qui augure de belles découvertes…

>>> Le site internet d’En Joue Connection

 

 

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En Loir-et-Cher, on est gâté. On a des très bons vins, et aussi un très beau festival de BD !

BD Boum, 32e édition, aura justement lieu du 20 au 22 novembre 2015, et sera placé cette année sous la très belle plume d’Annie Goetzinger, Grand Boum 2014.

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L’année précédente, c’était l’immense Etienne Davodeau qui avait été récompensé du grand prix de ce festival. Pour un superbe album sur le vin et la bd justement, « les Ignorants » (Futuropolis).

Tout comme le site Comixtrip le place à la première place de son Top 10 des bandes dessinées sur le vin.

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Le n°2 est le manga « Les Gouttes de Dieu » (Glénat), dont je n’ai pas dépassé le premier tome (sur 37 !), mais qui a déclenché paraît-il une vraie ferveur pour le vin au Japon…

Le n°3 s’appelle « Les Chroniques de la vigne » de Fred Bernard (Glénat), une série d’histoires courtes sur le vin par un Bourguignon, que je vais m’empresser d’aller dénicher dans l’immense librairie éphémère de BD Boum, ce week-end à Blois !

Et il y en a bien d’autres à découvrir, dans ce Top 10, et peut-être aussi dans les bacs de BD Boum. Bonne lecture !

>>> Tout sur la 32e édition de BD Boum à Blois

 

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Oyez braves amateurs de vins honnêtes et buvables !

Le salon des Vins du Coin, association de producteurs de vins naturels de Loir-et-Cher, aura lieu les 28 et 29 novembre 2015 à Thésée-La-Romaine. C’est dans la vallée du Cher, il y a de très belles ruines romaines, à seulement 35 mn de Blois et 45 mn de Tours en voiture à pétrole. Un peu plus à cheval, et pour le vélo, vous oubliez : vous aurez du vin à ramener !

affiche vins

Du vin du coin évidemment, et il y a de quoi réjouir toutes les tablées de Noël et du Premier de l’An et bien au-delà, parmi les 18 domaines présents, représentant toute la variété des cépages, des terroirs, des appellations et des savoir-faire entre Loir, Loire et Cher.

Si vous voulez tout savoir : Bruno Allion, Olivier Bellanger, Pierre-Olivier Bonhomme, Mikaël Bouges, Alain Courtault et Simon Tardieux, Moses Gadouche et Pascal Potaire, Ariane Lesné, Estelle Maitre et François Saint-Léger, Noëlla Morantin, Julien Pineau, Jean-Pierre Robinot, Vincent Roussely, Jérôme Sauvète, Laura Semeria, Cyrille Sevin, Philippe Tessier, Brendan Tracey et Hervé Villemade !

Mais ce n’est pas tout. L’humeur partageuse et conviviale qui anime les Vins du Coin sera décuplée par la venue d’invités, vignerons de Bourgogne. De belles dégustations et de belles rencontres en perspective !

>> Toute l’actualité de ce Salon 2015 est à suivre au jour le jour sur la page Facebook des Vins du Coin, avec de belles photos en prime.

 

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