Depuis 1816, à la Mothe Saint-Héray, dans les Deux-Sèvres, on fête les rosières. Ce sont, à l’origine, de jeunes mariées méritantes et indigentes dotées grâce au legs de la fortune d’un altruiste avocat.
Sans vouloir être moqueur ou persiffleur, la 372ème rosière mériterait peut-être une plus belle salle pour le grand banquet du dimanche. Malgré la bonne volonté des quelques bénévoles, l’écrin rendrait malheureuse plus d’une jeune mariée…
Le gymnase de la Mothe St-Héray (Photo Éric POLLET)
Comment peut-on mettre un commentaire pareil en prenant une photo de la salle faite 3 jourd avant pendant un reportage pour la NR qui n’a rien a voir avec cela… Il ser
Il serait peut etre plus judicieux de venir faire un reportage et mettre une illustration le soir du repas de le fete de la rosiere, quand on se dit journaliste il me semble qu’il doit y avoir un minimum d’objectivité et de respect pour les bénévoles de tous horizons qui essayent de faire vivre leur commune. a bon entendeur ….
Bonjour « bordiec »,
Comme annoncé dans le texte, mon intention n’était pas de me moquer des bénévoles qui font vivre leur village, bien au contraire.Je ne sais pas comment cela se passe dans les autres communes qui récompensent leurs rosières, mais je persiste à penser que malgré la bonne volonté des bénévoles, le gymnase de la Mothe n’est pas un exemple de beauté architectural. Mais ce n’est que mon avis…